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Bujumbura-Burundi.
BURUNDI-ENSEIGNEMENT.
REOUVERTURE DE L'ANNEE ACADEMIQUE 1998-1999
BUJUMBURA, LE 1 AVRIL 1999 (NET PRESS). C'EST CE JEUDI 1ER AVRIL 1999 QU'ONT REPRIS LES INSCRIPTIONS A L'UNIVERSITE DU BURUNDI. LES ETUDIANTS ETAIENT PEU NOMBREUX CE MATIN. "CERTAINS SONT ENCORE A L'INTERIEUR DU PAYS ET ILS VIENDRONT...", PENSE LE DIRECTEUR DE LA REGIE DES OEUVRES UNIVERSITAIRES, M. THEODORE MUBAMBA. D'APRES LUI, LES NOUVELLES MESURES PRISES PAR L'UNIVERSITE CONCERNANT LA DISCIPLINE AU CAMPUS SERONT OBSERVEES. POUR PREVENIR LES CAUSES DES ARRETS DE COURS PAR LES ETUDIANTS, DONT LA PRINCIPALE CAUSE ETAIT LIEE AUX ARRIERES DE BOURSE, LE DIRECTEUR DE LA REGIE A DIT QUE LA BOURSE DES ETUDIANTS EST GEREE AU MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE. A CE POINT, SON SOUHAIT EST QUE LES POUVOIRS PUBLICS LAISSENT LA GESTION DE LA BOURSE DES ETUDIANTS AINSI QUE LES TRANCHES SERVANT AU PAIEMENT DU PERSONNEL A LA REGIE DES OEUVRES UNIVERSITAIRES.
BURUNDI-ECONOMIE.
INAUGURATION OFFICIELLE DES BATIMENTS BICOR ET LANCEMENT DES ACTIVITES DE LA BCD.
BUJUMBURA, LE 1 AVRIL 1999 (NET PRESS). DEMAIN LE 2 AVRIL 1999 A 16 HEURES AURONT LIEU LES CEREMONIES D'INAUGURATION DU NOUVEAU SIEGE DE LA SOCIETE D'ASSURANCE BICOR (BURUNDI INSURANCE CORPORATION) SITUE A L'AVENUE DE GRECE ET DE LANCEMENT DES ACTIVITES DE LA BCD (BANQUE DE COMMERCE ET DE DEVELOPPEMENT). DES PERSONNALITES SONT INVITES A CES CEREMONIES. LES MOTS DE CIRCONSTANCE SERONT PRONONCES PAR LES DEUX PRESIDENTS DES CONSEILS D'ADMINISTRATION A SAVOIR TURIMUCI PROSPER POUR LA BICOR ET BUTOKE FRANCOIS POUR LA BCD. LES CEREMONIES SE POURSUIVRONT AU RESTAURANT CHEZ ANDRE. SIGNALONS QUE LES DEUX INSTITUTIONS ONT PRATIQUEMENT LES MEMES PROMOTEURS.
BURUNDI - CONFERENCE.
L'AMBASSADEUR KAVAKURE ORGANISE UNE CONFERENCE DEBAT A LA MAISON DE LA PRESSE.
BUJUMBURA, LE 1 AVRIL 1999 (NET PRESS). L'AMBASSADEUR KAVAKURE ORGANISE UNE CONFERENCE DEBAT CE VENDREDI 2 AVRIL 1999 A LA MAISON DE LA PRESSE SUR LA BONNE GOUVERNANCE. CONTACTE PAR LA REDACTION, M. KAVAKURE A DIT QUE DANS LE CONTEXTE ACTUEL DU PAYS, IL Y A UN CONCEPT QUI EST EN VOGUE QUE L'ON APPELLE BONNE GOUVERNANCE. MEME LES BAILLEURS DE FONDS ACCEPTENT DE FINANCER CE VOLET, A-T-IL POURSUIVI. L'INTITULE DE CETTE CONFERENCE-DEBAT EST "LA BONNE GOUVERNANCE DANS LE CONTEXTE ACTUEL BURUNDAIS". IL SIGNALE QU'IL A EFFECTUE DES ENQUETES DANS DIFFERENTES PROVINCES 3 COMMUNES DANS LA PROVINCE DE MUYINGA, 3 COMMUNES A KIRUNDO, 3 A KAYANZA, A KARUSI, 4 OU 5 COMMUNES DANS LA PROVINCE GITEGA EN PLUS DE LA MAIRIE DE BUJUMBURA. IL A DISCUTE AVEC DES POLITICIENS, DES PARLEMENTAIRES, DES ANCIENS MINISTRES, DES MEMBRES DE LA SOCIETE CIVILE, DES ONG, DES ASSOCIATIONS SANS BUT LUCRATIF, DES SYNDICAT, CERTAINS GROUPES INFORMELS, DES JEUNES ET DES MOINS JEUNES DE TOUS LES HORIZONS SOCIO-PROFESSIONNELS, DES LAICS, DES RELIGIEUX AINSI QUE DES PAYSANS. IL A TROUVE INTERESSANT LEUR MANIERE DE REPONDRE SUR CERTAINS ASPECTS. IL A TROUVE EGALEMENT QUE CHAQUE PROVINCE A DES PARTICULARITES SUR CETTE QUESTION.
BURUNDI-RECONSTRUCTION.
ZONE KAMENGE: LA REDISTRIBUTION DES PARCELLES POSE DES PROBLEMES.
BUJUMBURA, LE 1 AVRIL 1999 (NET PRESS). AVEC LE RETOUR PROGRESSIF A LA SECURITE, DES QUARTIERS DE LA ZONE KAMENGE, A SAVOIR MIRANGO I, MIRAGO II, GITURO ET TABA SONT EN TRAIN D'ETRE REHABILITES. AVANT LA CRISE IL N'Y AVAIT PRATIQUEMENT PAS DE ROUTES, D'ELECTRICITE, D'ADDUCTION D'EAU, ETC. POUR METTRE EN PLACE TOUTES CES INFRASTRUCTURES, UNE REDISTRIBUTION DES PARCELLES DEVAIT SE FAIRE. ALORS QUE CE TRAVAIL ETAIT DEJA EN COURS, DES PLAINTES DE LA POPULATION SE MULTIPLIENT. LA REDACTION A RECUEILLI DES AVIS DE CERTAINES AUTORITES CONCERNEES.
LE MINISTRE DES TRAVAUX PUBLICS, M. DENIS NSHIMIRIMANA, A RECONNU QU'IL Y A DES PLAINTES EMANANT DES POPULATIONS DE KAMENGE ET DE LA DIASPORA BURUNDAISE. SON MINISTERE N'INTERVIENT QUE DANS LA RESTRUCTURATION TECHNIQUE DE CES QUARTIERS, C'EST-A-DIRE LE TRACAGE DES ROUTES ET LE PIQUETTAGE DES PARCELLES, A-T-IL PRECISE. IL COLLABORE CEPENDANT AVEC LA MAIRIE QUI RECENSE LES BENEFICIAIRES ET LE MINISTERE A LA REINSERTION ET LA REINSTALLATION DES DEPLACES ET DES RAPATRIES. LES BENEFICIAIRES SE PLAIGNENT DU FAIT QU'IL Y A BEAUCOUP D'IRREGULARITES DANS LA REDISTRIBUTION DES PARCELLES: DES GENS OBTIENDRAIENT DES PARCELLES ALORS QU'ELLES N'ETAIENT PAS DU QUARTIER; CEUX QUI AVAIENT DE GRANDES PARCELLES AVANT LA CRISE SE RETROUVENT AVEC DE PETITS TERRAINS; DES GENS SONT OMIS ALORS QU'ILS AVAIENT DES PARCELLES, ETC. LE MINISTRE A INDIQUE QUE LE RECENSEMENT DEVRAIT ETRE EXHAUSTIF POUR EVITER DES PROBLEMES DANS L'AVENIR. IL AJOUTE QU'A PART LES BURUNDAIS QUI SERAIENT LESES, IL Y A DES RWANDAIS ET DES CONGOLAIS QUI ETAIENT AU PAYS MAIS QUI PEUVENT RECLAMER LEURS PARCELLES DANS L'AVENIR. EN OUTRE, LE CAMP DU BATAILLON D'INTERVENTION (COMMUNEMENT APPELE SOCARTI) VOUDRAIT QUE LES PARCELLES TRES PROCHES DU CAMP NE SOIENT PAS DISTRIBUEES. FACE A TOUS CES PROBLEMES, LE MINISTRE DES TRAVAUX PUBLICS A ADRESSE LE 10 MARS 1999 UNE LETTRE A LA MAIRIE DE BUJUMBURA POUR QU'IL SUSPENDE LA REDISTRIBUTION. UNE REUNION DES DIFFERENTS INTERVENANTS SE TIENDRA DANS UN PROCHE AVENIR POUR TRANCHER CERTAINS LITIGES.
POUR SA PART, LE MAIRE DE LA VILLE DE BUJUMBURA, M. PIE NTIYANKUNDIYE, S'EST GARDE DE COMMENTAIRES DETAILLES A CE PROPOS, SOULIGNANT QU'IL FAUT ATTENDRE UNE EVALUATION UNE REUNION DE TOUS LES INTERVENANT DANS CE DOMAINE. C'EST DANS CE CADRE QUE LES QUESTIONS QUI SE POSENT POURRONT TROUVER DES SOLUTIONS. IL NE SERAIT PAS INTERESSANT QUE CHACUN FASSE SON EVALUATION, A-T-IL POURSUIVI. IL SIGNALE QU'UNE AUTRE OPINION INDIQUE QUE DES PARLEMENTAIRES S'IMPROVISENT POUR REGLER LES LITIGES EN LES COMPLIQUANT PAR DES SPECULATIONS DE NATURE POLITICIENNES.
LE PRESIDENT DE L'ASSEMBLEE NATIONALE S'EST EFFECTIVEMENT SAISI DE LA QUESTION. PAR SA LETTRE DU 26 FEVRIER 1999, IL A INVITE LE PRESIDENT DE LA COMMISSION SOCIALE A L'ASSEMBLEE NATIONALE, L'HONORABLE PHILIPPE NZOBONARIBA POUR S'OCCUPER DU DOSSIER RELATIF "A UNE EVENTUELLE REDISTRIBUTION DES PARCELLES DANS LA ZONE KAMENGE". LA MEME CORRESPONDANCE DEMANDE A PHILIPPE NZOBONARIBA DE TRANSMETTRE UN RAPPORT A L'ASSEMBLEE NATIONALE AU PLUS TARD LE 8 AVRIL 1999. CONTACTE PAR LA REDACTION, PHILIPPE NZOBONARIBA A RELEVE UNE SERIE D'IRREGULARITES QUI RIMENT AVEC CELLES DONT A PARLE LE MINISTRE DES TRAVAUX PUBLICS. EN OUTRE, SI LA REDISTRIBUTION CONTINUAIT COMME ELLE SE FAIT ACTUELLEMENT, L'INTERET PARTICULIER, C'EST-A-DIRE DE L'UN OU L'AUTRE HABITANT LESE, SERAIT SACRIFIE AU PROFIT DE L'INTERET GENERAL, A SAVOIR LA VOLONTE DE REINSTALLER LES GENS. IL CONSTATE QU'IL Y A EU UNE RAPIDITE INJUSTIFIEE DANS LA REDISTRIBUTION. AU SUJET D'UNE CERTAINE OPINION SELON LAQUELLE IL Y AURAIT UNE EXPLOITATION POLITICIENNE DE CE DOSSIER, IL A INDIQUE QUE POUR METTRE FIN A UN CONFLIT SOCIAL DU GENRE, IL FAUDRAIT EVITER A TOUT PRIX CETTE TENDANCE. IL TROUVE QU'IL FAUT RESPECTER LA LOI DANS LA REDISTRIBUTION.
 

 

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