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Burundi – Justice27 avril 2023
|Comparution de l’ancien premier ministre Alain Guillaume Bunyoni ?

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Burundi – Sécurité24 avril 2023
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Burundi – Justice21 avril 2023
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Burundi – Sécurité20 avril 2023
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Burundi – Justice10 avril 2023
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Burundi - Sécurité

La police investit la zone de Buyenzi

16 juin 2017

Bujumbura, le 16 juin 2017 (Net Press). Ce matin, la police a fait irruption dans la zone de Buyenzi, commune de Mukaza dans la mairie de Bujumbura. Son objectif était la traque des buveurs de boissons prohibées par la loi burundaise. Ainsi, une huitaine de personnes ont été arrêtées à la 7ème avenue de cette zone, en train de consommer de telles boissons et ont été transférées dans les cachots de cette zone.

La zone de Buyenzi est l’une des zones les plus complexes de la capitale. Si une sécurité y règne, c’est parce qu’elle est habitée par une large majorité de musulmans qui, de par l’expérience, montrent un caractère docile. Mais au-delà de cela, Buyenzi est une zone qui constitue un grand garage informel des véhicules de toutes sortes, aurait été de par l’histoire de la capitale, le premier coin à développer la prostitution avant Kamenge, mais également un lieu d’escroquerie et de vente des produits prohibés comme le chanvre et les boissons alcoolisées.

Il semble que même actuellement, le gros de consommateurs de la drogue s’approvisionnent dans cette zone pour l’ingurgiter dans d’autres coins comme le quartier asiatique de Bujumbura ou alors à la prison centrale de Bujumbura où ce produit entre massivement malgré l’interdiction légale.

Les habitants, l’administration et la police travaillant dans cette localité demandent qu’il y ait une synergie pour décourager à jamais ces pratiques qui sont à l’origine de l’insécurité causée principalement par ces consommateurs.

Sous d’autres cieux, la situation n’est pas mieux. En effet, d’autres Burundais viennent d’être refoulés par le Rwanda et sont arrivés hier à la frontière de Gasenyi - Nemba, dans la commune de Busoni dans la province de Kirundo. Ils sont rentrés en deux temps. Un premier groupe est arrivé à la fin de la matinée et était composé de 82 personnes, 41 hommes, 16 femmes et 25 enfants. Ils étaient des cultivateurs dans les champs et ils n’ont pas eu le temps de rassembler leurs affaires avant de rentrer.

Le deuxième groupe, au nombre de 18, contient des éléments qui ont été retenus par la police rwandaise avant d’être refoulés. Mais cela n’est pas l’avis de la police burundaise qui affirme que ces 18 Burundais vivaient dans le camp des réfugiés de Mahama au Rwanda et qu’ils ont jugé bon de rentrer. Rappelons qu’en date du 8 juin 2017, 91 autres Burundais avaient été refoulés du pays de Paul Kagame.

Burundi - Onu - Droits de l’homme

Est arrivé ce que le gouvernement burundais craignait !

Genève, le 16 juin 2017 (Net Press) . Quand le gouvernement burundais a interdit toute présence de la commission indépendante sur les droits de l’homme dans notre pays, il était loin de s’imaginer que des enquêtes allaient se poursuivre malgré tout. Eh bien, il a été surpris de voir que les éléments de cette commission se sont rendu dans les pays limitrophes où des Burundais ont élu asile et qui étaient prêts à témoigner en toute sécurité.

Selon des sources proches du gouvernement, ce serait une des raisons qui l’auraient poussé à rejeter d’avance ce rapport car il avait été confectionné en toute impuissance du même gouvernement. Ainsi, Fatsah Ouguergouz, président de cette commission, n’a pas ménagé le pouvoir de Bujumbura car il a indiqué que des morts et des disparitions par centaines était le bilan de la crise au Burundi depuis que le président Pierre Nkurunziza a décidé de se faire réélire en violant la constitution.

Selon le président de cette commission d’enquête, leurs résultats ont confirmé les "pires craintes", car Fatsah Ouguergouz, a été clair en déclarant que les premiers mois d’enquête ont confirmé la pire crainte de la commission sur l’ampleur et la gravité des allégations de violations des droits de l’homme au Burundi.

L’enquête a porté sur près de 500 témoignages sur les graves violations des droits de l’homme commises depuis le début de la crise en avril 2015. Ce qui a le plus frappé les enquêteurs, c’est le sentiment de peur profonde et généralisée ressenti par des réfugiés traumatisés par les violences subies, a affirmé Fatsah Ouguergouz.

Un autre constat de la commission est que les violences se poursuivent au Burundi malgré les dénégations du pouvoir qui assure que la situation s’est améliorée. Mais d’après ce rapport, ce qui a changé c’est que les violences sont devenues plus clandestines mais tout aussi brutales et qu’elles continuent en toute impunité.

Du côté du gouvernement, l’on a rejeté ce rapport avant même sa publication, mercredi le 14 juin 2017. Le représentant du Burundi auprès du conseil des droits de l’homme, Rénovat Tabu, s’en est pris à l’Union européenne accusée d’être l’instigateur et de faire partie d’un complot international contre le Burundi.

Burundi - Sport

Rien à faire devant Caster Semenya

Oslo, le 16 juin 2017 (Net Press) . S’il y a une préoccupation permanente de l’athlète Francine Niyonsaba, c’est de savoir ce qu’elle va faire de Caster Semenya, l’athlète sud-africaine qui ne lui laisse jamais la chance de devenir première lors des différentes compétitions. Ce 15 juin 2017 à Oslo, lors du championnat du Diamond League, elle a encore une fois occupé la deuxième place sur 800 mètres derrière la Sud-africaine.

Elle a réalisé un micro de 1 minute 58 secondes et 18 tierces contre 1 minute 57 secondes et 59 tierces de Caster Semenya. Derrière elles, la Kenyane Wambwi Margaret Nyairera a occupé la troisième place, la Suédoise Lindh Lovisa est arrivée 4ème devant la Canadienne Bishop Melissa.

L’on saura que dès le début de la course, Francine Niyonsaba occupait la première place et que vers la fin de la compétition, jusqu’à plus ou moins 80 mètres de l’arrivée, la Sud-africaine a engagé une vitesse supérieure, dépassant l’athlète burundaise avant d’arriver à destination. L’on saura que ces trois athlètes ont occupé les mêmes places lors des jeux olympiques de Rio de Janeiro au Brésil en 2016.

Burundi - Droits de l’Enfant

Le Burundi se joint au monde pour célébrer la journée internationale de l’enfant africain

Bujumbura, le 16 juin 2017 (Net Press). A l’occasion de cette journée internationale de l’enfant africain, plusieurs associations de défense des droits de l’enfant ont sorti plusieurs déclarations. La rédaction a pu se procurer d’une déclaration d’une Ong dénommée "Kiyo" qui signifie en anglais "Kids and Youth" ’Enfants et Jeunesse" et elle le livre en entièreté à son lectorat.

"Journée Internationale de l’Enfant Africain « Quelles solutions pour les enfants en situation de rue au Burundi ? »

"BUJUMBURA, 16 juin 2017 – A l’occasion de la Journée Internationale de l’Enfant Africain, KIYO souhaite porter un regard sur le phénomène des enfants en situation de rue, phénomène qui ne cesse de s’accroître dans les centres urbains du Burundi. Orphelins, enfants ayant fui la pauvreté ou la maltraitance dans leurs familles, ces enfants en situation de rue sont de plusieurs catégories : certains passent leurs journées dans les rues à mendier puis rentrent le soir chez eux, d’autres y vivent le jour comme la nuit et développent parfois l’idée que la rue est un endroit idéal pour vivre.

"Quels qu’ils soient, ils sont dépourvus de leurs droits et voués à la survie. Ils sont vulnérables et exposés à différentes formes d’exploitations. Le Burundi compte aujourd’hui plusieurs milliers d’enfants en situation de rue dans les grands centres urbains du pays.

"Eradiquer ce phénomène et sortir les enfants de la rue est une tâche complexe, qui demande du temps et des moyens pour effectuer un travail de proximité avec chaque enfant dans le besoin. Depuis 2012, KIYO met en œuvre différentes actions dans trois villes du pays : Ngozi, Kayanza et Rumonge afin d’identifier ces enfants, de les resocialiser et de préparer leur retour en famille. Au travers de trois centres de jours, ces enfants sont accueillis, reçoivent des soins de santé de base, une assistance psychosociale et juridique, des sensibilisations et des séances d’alphabétisation. Cette assistance peut aller de quelques mois à plusieurs années selon l’âge, l’histoire et la situation familiale de l’enfant. Le Burundi manque cruellement de centres d’hébergement et les familles d’accueil sont difficilement mobilisables suite aux lourds stéréotypes que portent ces enfants de la rue.

"A l’occasion de la Journée Internationale de l’Enfant Africain, KIYO voudrait rappeler que le phénomène d’enfants en situation de rue est un problème communautaire complexe qui prend place dans un effritement des mécanismes sociaux de solidarité. La réinsertion forcée de ces enfants dans leur commune d’origine n’est pas une technique qui a montré des résultats durables et la plupart des enfants réinsérés de cette manière retournent dans la rue dans les jours ou semaines suivant leur réinsertion.

"Pour KIYO et ses partenaires, il est indispensable, pour garantir une réintégration durable de l’enfant et respectueuse des droits de l’enfant, de comprendre le problème de l’enfant, de chercher avec lui la solution dans son intérêt supérieur. Cela demande du temps et un suivi post réinsertion de proximité. A moyen terme, un travail de prévention doit être engagé pour sensibiliser les familles sur leurs responsabilités et sur les droits de l’enfant.

"Chaque jour, KIYO et ses partenaires au Burundi s’engagent pour la protection et l’épanouissement de ces enfants, au bénéfice de l’ensemble de la communauté. À propos de KIYO

"KIYO est une ONG de développement qui accorde une attention prioritaire aux enfants les plus vulnérables et à ceux qui ne savent pas se protéger. Elle est active dans six pays et souhaite contribuer à renforcer la solidarité internationale pour la réalisation des droits de l’enfant, conformément à la Convention Internationale de Droits de l’Enfant."

Burundi - Mise en terre

Les proches du défunt Mwambutsa IV sur le point de l’inhumer de nouveau

Genève, le 16 juin 2017 (Net Press) . La princesse Esther Kamatari et Mme Erika Regenfelder, sa compagne jusqu’à son décès, tiennent à rappeler que le tribunal fédéral, l’équivalent de la cour suprême en Suisse, a confirmé qu’il fallait respecter les dernières volontés du roi.

Or, ce dernier, à travers son testament, avait précisé que son corps ne pouvait pas quitter le sol suisse. Dans cette affaire qui a duré 5 ans, il est désormais interdit de transférer la dépouille du roi et que les ayant-droit ont l’autorisation d’inhumer de nouveau le leur. Par ailleurs, pour la justice helvétique, il n’y avait pas d’intérêt prépondérant à déplacer le corps au Burundi, ce qui constitue une victoire pour tous ceux qui, Burundais ou amis du Burundi, ont la certitude que la dépouille du roi ne sera pas instrumentalisée politiquement ou pour tout autre motif.

Il est alors demandé aux Burundais et aux amis du Burundi de manifester leur solidarité et soutien à la princesse Esther Kamatari qui n’a ménagé aucun effort pour que ce dossier aboutisse dans le sens voulu par le roi de son vivant. Ces gestes et soutiens financiers contribueraient à alléger, tant soit peu, le coût important que cette bataille judiciaire a occasionné ainsi que les frais résultant de l’organisation des cérémonies de réinhumation du roi.

La princesse et la compagne du défunt invitent donc ceux qui le pourront à participer, vendredi 30 juin 2017, à la cérémonie laïque à la mémoire du roi et à l’accompagner au cimetière de Feuillasse à Meyrin pour assister à son inhumation. Un verre sera partagé après les cérémonies de mise en terre.

Burundi - Rdc - Justice

Devant la Cpi, Bosco Ntaganda se pose en libérateur

La Haye, le 16 juin 2017 (Net Press) . C’est le constat du site de la radio mondiale Rfi. L’ancien chef de guerre congolais Bosco Ntaganda comparaît devant la cour pénale internationale. Pour le 2è jour consécutif, l’ex-rebelle a témoigné. Car près de deux ans après l’ouverture de son procès, et après que l’accusation ait présenté ses preuves, l’ancien chef adjoint (de l’état-major général) des Forces patriotiques pour la libération du Congo (Fplc) est le premier témoin pour sa propre défense. Accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, Bosco Ntaganda plaide non coupable et jeudi, lors de l’audience, il a encore démenti être un criminel.

Ses origines, sa famille et sa carrière militaire... Minutieusement, heure après heure, l’avocat de Bosco Ntaganda passe en revue l’ensemble de ces sujets.

De sa voix lente et en swahili, Bosco Ntaganda dresse le portrait d’un militaire formé, zélé, qui monte en grade au fil des années. Et pour justifier son engagement dans une rébellion rwandaise, puis congolaise pour chasser le dictateur Mobutu, puis une autre rébellion pour renverser Kabila père qu’il a aidé à arriver au pouvoir quelques années plus tôt, Bosco Ntaganda utilise toujours le mot « libérer » : libérer les Tutsis du génocide, le Congo de la dictature... Bosco Ntaganda veut convaincre qu’il a pris les armes pour défendre des idées et non par goût du crime.

« Le fait de m’être rendu devant la cour pénale internationale, ça fait partie des principes d’un révolutionnaire. Je l’ai fait parce que moi Ntaganda, je ne suis coupable de rien. Je ne suis pas un criminel », explique Bosco Ntaganda.

Pas un criminel, c’est tout le leitmotiv de sa défense qui veut à tout prix humaniser celui qui a été surnommé « terminator » au fil d’années de combats au sein de multiples rébellions. Lisser aussi la réputation du chef de guerre souvent décrit comme opportuniste et sans pitié.

L’homme qui a servi dans les rébellions rwandaises et congolaises est accusé de treize crimes de guerre et cinq crimes contre l’humanité dont meurtres, pillages, attaques contre des civils, viols et esclavage sexuel, commis par ses troupes en 2002-2003 en Ituri, au nord-est de la République démocratique du Congo. Lui plaide non coupable et hier encore il a démenti être un criminel.

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