Aujourd'hui, nous sommes le

 
 

 

Dépêches antérieures

Burundi – Sécurité8 mai 2023
|L’insécurité augmente d’un cran dans la province de Bururi

Burundi – Union africaine – Sécurité6 mai 2023
|Sommet de Bujumbura, deux grands absents, le Rwanda et le Kenya

Burundi – Sécurité5 mai 2023
|Un corps sans vie d’une femme retrouvé dans la province de Rutana

Burundi – Sécurité4 mai 2023
|Des personnes trouvent la mort suite à des pluies diluviennes

Burundi – Médias3 mai 2023
|Le Burundi se joint à la communauté internationale pour la journée mondiale de la liberté de la presse

Burundi – Politique – Sécurité2 mai 2023
|Le secrétaire général de l’Onu attendu à Bujumbura

Burundi – Sécurité1er mai 2023
|Une femme attrapée en tentant de voler dans un champ appartenant au chef de l’Etat

Burundi – Société - Sécurité29 avril 2023
|51 ans après, les Burundais n’ont pas encore une lecture commune des événements de 1972

Burundi – Eac – Sécurité28 avril 2023
|Le commandant de la force régionale de l’Eac rend le tablier

Burundi – Justice27 avril 2023
|Comparution de l’ancien premier ministre Alain Guillaume Bunyoni ?

Burundi – Sécurité – Environnement26 avril 2023
|Les habitants de Kanyosha désemparés…

Burundi – Sécurité25 avril 2023
|Encore un mort dans la capitale politique Gitega…

Burundi – Sécurité24 avril 2023
|La province de Cibitoke toujours face à l’insécurité

Burundi – Droits de l’Homme22 avril 2023
|Les défenseurs des droits de l’homme se disent engagés … !

Burundi – Justice21 avril 2023
|Le colonel Désiré Uwamahoro serait désormais locataire de la prison de Murembwe

Burundi – Sécurité20 avril 2023
|Des voisins encombrants dans la réserve naturelle de la Kibira

Burundi - Sécurité19 avril 2023
|Des attaques à la machette inquiètent la population de Bururi.

Burundi – Sécurité18 avril 2023
|Un homme trouve la mort dans la province de Muyinga

Burundi – Sécurité17 avril 2023
|Fouille-perquisition au domicile de l’ancien premier ministre

Burundi – Sécurité15 avril 2023
|Découverte d’un corps sans vie au bord de la rivière Rusizi

Burundi – Justice14 avril 2023
|Ils confirment leur intention de vol et non de meurtre devant les juges

Burundi - Justice13 avril 2023
|Une famille demande la libération d’un rapatrié détenu en prison

Burundi – Sécurité12 avril 2023
|Des orpailleurs clandestins menacés dans la province de Cibitoke

Burundi – Justice11 avril 2023
|La justice s’active dans plusieurs coins du pays, les populations satisfaites …

Burundi – Justice10 avril 2023
|Limogeage puis incarcération : de mal en pis pour Domithile Ntunzwenimana

 

 

 

 

 

 



Burundi - Sécurité

Le ministre Alain Guillaume Bunyoni percute des piétons

25 octobre 2017

Makamba, le 25 octobre 2017 (Net Press) . Le porte-parole de la police burundaise, Pierre Nkurikiye, affirme que le ministre de la sécurité publique a eu un accident aujourd’hui vers 9 heures en commune Mabanda de la province de Makamba au sud du pays. Selon Pierre Nkurikiye, le véhicule s’est écarté de la route, percutant des piétons, faisant 1 mort sur place et 3 blessés. Pierre Nkurikiye indique que le ministre Bunyoni et ses agents de transmission sont sortis indemnes de cet accident.

Les prisons du pays restent le théâtre des morts suite au mauvais traitement carcéral et à la négligence des autorités pénitentiaires qui ne facilitent pas les transferts des prisonniers malades vers les établissements sanitaires. En témoigne un prisonnier originaire de la province de Muramvya détenu dans celle de Murembwe, dans la province de Rumonge, qui est mort ce mardi 24 octobre 2017 suite au paludisme qui n’a pas été traité à temps. Pour rappel, l’ancien diplomate rwandais est mort dans des conditions similaires l’année dernière à la prison centrale de Mpimba

Des tueries sont signalées presque dans tous les coins du pays, le porte-parole de la police burundaise Pierre Nkurikiye affirme que la nommée Antoinette Ntaconishimiye, agée de 63 ans, de la commune Matongo, province Kayanza, a été assassinée dans la nuit de mardi à mercredi le 25 octobre 2017 vers 1 heure du matin par des éléments non encore identifiés. Dans la même foulée, Bienvenu Nsengiyumva, âgé de 25 ans, est mort suite à l’éboulement de terre lors de l’extraction du coltan sur la colline Kibuba, commune Kabarore, province de Kayanza et 4 autres hommes ont été blessés et transférés à l’hôpital de Kayanza.

Burundi - Droits de l’Homme

La campagne Sos-Torture sort son rapport trimestriel sur les droits de l’homme

Bujumbura, le 25 octobre 2017 (Net Press) . Ce rapport couvre la période du 1er juillet au 30 septembre 2017 et indique que le pays resté caractérisé par des violations graves et souvent d’une brutalité extrême en dépit des discours des autorités qui font état de la situation sécuritaire normale à travers tout le pays.

Ce rapport note des cas d’exécutions extrajudiciaires, des arrestations et détentions arbitraires, des disparitions forcées, des actes de torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants, et des violences sexuelles. Ces types de violations avaient déjà été observés, selon toujours la campagne Sos-Torture, dans les trimestres précédents et cela depuis le déclenchement de la crise en cours, en avril 2015.

La fin du trimestre a été marquée par la présentation du rapport de la commission d’enquête sur le Burundi, le 19 septembre 2017, devant le conseil des droits de l’homme des Nations Unies, lors de sa 36ème session à Genève. Cette perspective a suscité, en amont et autour des dates de présentation, de nombreuses réactions hostiles de la part du pouvoir burundais, accompagnées de discours martiaux et haineux. Cette hostilité était essentiellement dirigée vers la société burundaise, accusée de collaborer avec « les ennemis » du Burundi, que sont les pays occidentaux. Elle visait aussi les Nations Unies, accusées de vouloir attaquer le Burundi.

C’est dans ce contexte qu’une attaque a été perpétrée contre les bureaux de l’office du haut-commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme au Burundi, dans la nuit du13 septembre 2017. Selon les témoignages, « six hommes armés ont menacé les agents de sécurité qui montaient la garde avant de s’introduire dans les bureaux. ». La police et le parquet ont fait une succession d’interventions contradictoires sur cette affaire.

La chasse aux sorcières proclamée par le secrétaire général du parti au pouvoir, Evariste Ndayishimiye, est un signe supplémentaire de la volonté gouvernementale de réduire encore davantage l’espace politique. Tous les constats montrent en effet qu’à travers tout le pays, les miliciens Imbonerakure pourchassent et harcèlent des membres des partis de l’opposition ou perçus comme tels, voire les citoyens ordinaires non membres du parti Cndd-Fdd. Ceux-ci sont soumis à des menaces permanentes, rackettés, arrêtés arbitrairement, torturés, voire tués. Ces exactions sont souvent commises grâce à la triple collusion entre la police, le service national des renseignements et les miliciens Imbonerakure. Dans quelques cas, ces miliciens s’en prennent même aux autorités locales ou même aux agents de police. Habituellement ces actes bénéficient d’une totale impunité.

Les espaces de liberté continuent à être extrêmement limités et font l’objet d’une constante surveillance. C’est dans ce contexte que le gouvernement, à travers le conseil national de la communication (Cnc), a décidé de suspendre pendant trois mois une des rares radios privées qui émettait encore, la Ccib Fm+ de la chambre de commerce du Burundi. La décision, mettant en cause le contenu d’un éditorial, a été rendue publique le 28 septembre 2017. Dans la même décision, le conseil national de la communication (Cnc) retire définitivement l’autorisation d’exploitation aux radios Bonesha FM et Radio Publique Africaine « RPA » ainsi que la radio-télévision Renaissance. Ces trois radios avaient vu leurs locaux et équipements saccagés, au lendemain du putsch manqué le 14 mai 2015, et leurs autorisations suspendues par une mesure gouvernementale. La nouvelle mesure constitue un indicateur de la volonté gouvernementale permanente de bâillonner la presse et la liberté d’expression.

La situation au pays affecte gravement les réfugiés qui sont à l’extérieur. Ceux qui sont en Rd Congo sont régulièrement soumis à des menaces permanentes de refoulement. A maintes reprises, certains d’entre eux, surtout des jeunes, ont été remis aux autorités burundaises par la police ou les autorités congolaises. En Tanzanie, la situation n’est guère meilleure, spécialement pour le camp de Nduta. Les informations indiquent que des miliciens envoyés par le pouvoir du Burundi peuvent y pénétrer, comme bon leur semble. Des armes y ont été découvertes. Ceux qui s’opposent au retour prôné par les émissaires du régime burundais sont menacés de mort. Plusieurs réfugiés ont été déjà tués.

Concernant la situation carcérale, alors que le début de l’année avait été marqué par une baisse, une augmentation rapide et remarquable s’est produite au cours du troisième trimestre. Elle a conduit à un niveau de surpopulation très élevé. Par ailleurs, des incidents violents sont survenus dans certaines prisons du pays, en particulier à Gitega et Rumonge.

De façon globale, le bilan des violations des droits de l’homme est similaire à ceux des trimestres précédents, avec les mêmes caractéristiques. En tout, plus de 76 assassinats ont été signalés, 309 arrestations arbitraires, 24 cas de tortures, un enlèvement et une disparition forcée. Ces différents abus sont commis concurremment par la police nationale du Burundi (Pnb), le service national des renseignements (Snr), et les miliciens Imbonerakure, parfois, se prêtant main forte. D’autres abus sont le fait d’individus non identifiés qui le restent, bénéficiant ainsi d’une totale impunité. Le fait que la police et le Snr acceptent et placent en détention des personnes arrêtées par des Imbonerakure renforcent l’autorité de ces derniers, dans l’arbitraire et l’illégalité.

Burundi - Malversations Economiques

L’Olucome infatigable de faire des clins d’œil

Bujumbura, le 25 octobre 2017 (Net Press) . A travers un communiqué qu’il a sorti ce matin, l’Olucome estime d’ores et déjà que « Les politiciens burundais, plus particulièrement les dirigeants actuels, devraient pousser leurs réflexions au-delà d’eux-mêmes afin d’apaiser leur fringale exagérée d’argent et du pouvoir qui empêche toute initiative légale qui ne met pas en premier lieu leurs propres intérêts. »

L’Olucome fait allusion au fait que le gouvernement vient d’être réexaminé en mai dernier par experts des Nations Unies sur la mise en application de la convention des Nations unies contre la corruption ratifiée par le Burundi le 18 janvier 2005. Le premier examen avait eu lieu en avril 2011 et avait émis des recommandations que le gouvernement devrait avoir miss en application en cette année mais en vain.

L’observatoire cite plusieurs recommandations, dont l’adoption par le parlement d’une loi organique qui prévoit et garantit le fonctionnement de la haute cour de justice tel que prévu à l’article 236 de la constitution burundaise. Sur ce point précisé, l’Olucome regrette qu’en date du 9 juin 2011, la ministre de la justice d’alors, Marie Ancilla Ntakaburimvo, lors de la présentation de la politique sectorielle de son ministère, avait déclaré que la mise en place de la haute cour de justice viendrait déstabiliser les institutions de la République.

En guise de conséquence, l’Ong Transparency International a classé le Burundi en 2015 parmi les 10 premiers pays les plus corrompus au monde alors qu’en 2006, il occupait la 36ème position au niveau mondial.

Le projet de loi des autorités burundaises sur la contribution financière aux élections de 2020 est une double taxe obligatoire sans traçabilité, en plus d’impliquer illégalement les enfants de 9 ans qui contribuent pour ces élections une somme de 100.000 fbu. L’Observatoire constate avec regret ces derniers jours, d’autres pratiques inquiétantes des hautes autorités qui sont contre la loi contre le blanchiment des capitaux au Burundi votée en 2008, la Convention des Nations Unies contre la corruption et les autres lois en vigueur au Burundi contre la corruption. Il s’agit de plus hautes autorités qui prennent des grosses sommes d’argent liquides dans leurs mallettes et se présentent d’abord devant les caméras et ensuite, devant les guichets de la banque de la République du Burundi (Brb) pour effectuer des versements en monnaie liquide pour une contribution aux élections de 2020 alors que l’Olucome avait proposé que ce budget des élections soit figuré seulement dans la loi budgétaire et éviter les cotisations et contributions doubles qui viennent sucer à fond les citoyens vivant une extrême pauvreté.

A la veille de cette Septième Session de la Conférence des États Parties à la Convention des Nations Unies contre la Corruption, l’Olucome demande aux représentants du gouvernement du Burundi, dans cette session, de montrer dans ces dix jours restants que ces recommandations des experts des Nations Unies ont été déjà mises en application ou tout au moins les pas déjà franchis, même 10 % dans leur réalisation, dans l’objectif d’éviter les mensonges que le gouvernement du Burundi pourrait dire devant les autres Etats qui seront présents à ladite session.

Pour ce, l’Olucome ouvre une campagne appelant le gouvernement du Burundi à appliquer la convention des Nations Unies contre la Corruption (Cnucc) qui durera dix jours d’avant cette septième session pour parler des recommandations que le Burundi devrait avoir mis en application jusqu’aujourd’hui. Certains points à communiquer proviendront des accords d’Arusha et la constitution du Burundi mère de la stratégie nationale de bonne gouvernance et de lutte contre la corruption, de la loi contre le blanchiment des capitaux, des recommandations des experts de l’Onu, de la retraite gouvernementale de Gitega, des états généraux de la justice burundaise, de la cellule de renseignements financiers au Burundi.

Burundi - Ouganda – Politique

Museveni : trente ans de constipation de sa constitution

Kampala, le 25 octobre 2017 (Net Press) . Le changement de la constitution ougandaise pour permettre au président et médiateur principal dans la crise burundaise, Yoweli Kaguta Museveni, de briquer son 6ème mandat, fait polémique dans la classe politique ougandaise. En marge d’une manifestation opérée par l’opposition ougandaise pour protester contre la constipation de la constitution, l’opposant historique du président Museveni, Kizza Besigye, a été arrêté ce mardi 24 octobre 2017 et son parti pour un changement démocratique (Fdp), crie à la détention arbitraire

La modification de l’article 102, fixant les conditions d’éligibilité du président de la république ougandaise, c’est-à-dire de 35 à 75 ans et qui empêcherait automatiquement le président Yoweli Kaguta Museveni, âgé de 76 ans, de se faire élire de nouveau car il ne remplit plus les conditions, fait polémique même dans le parlement ougandais où le 26 septembre 2017, ce dernier a été le théâtre des bagarres. Le tripatouillage de l’article 102 a été orchestré par la président ougandais.

Retour

VOS ENENEMENTS SOCIAUX

 

COMMUNIQUE DE DECES

2 février 2023 |Emmanuel WAKANA

Social

22 juin 2022 |Remerciements

COMMUNIQUE DE DECES

16 juin 2022 |Adélaïde NDIHOKUBWAYO

COMMUNIQUE DE DECES

19 avril 2022 |Monique SAHABO

COMMUNIQUE DE DECES

12 mars 2022 |Edmond TOYI

Communiqué de décès

27 février 2022 |André NYAMURANGWA

NECROLOGIE

10 février 2022 |COMMUNIQUE DE DECES

Nécrologie

15 janvier 2022 |New article No9727

COMMUNIQUE DE DECES

23 décembre 2021 |Ambassadeur NTAGABO Joseph

COMMUNIQUE DE DECES

22 décembre 2021 |Jean NZEYIMANA


 

Burundi – Recherches Scientifiques – Anniversaire1er mars 2023
|1er mars 1993 – 1er mars 2023 : 30ème anniversaire de soutenance publique du mémoire de fin d’études universitaires ou hommage à une personnalité exceptionnelle de tous les temps

Burundi - Politique1er novembre 2022
|"46ème anniversaire de la naissance de la Deuxième République", dixit PARENA

Burundi - Politique21 octobre 2022
|29ème anniversaire de l’assassinat du Président Melchior Ndadaye

Burundi - Burkina Faso - Politique15 octobre 2022
|35ème anniversaire de l’assassinat du Président Thomas Sankara

15 octobre 2022
|N.P. Monsieur Diallo Abdoulaye, pouvez-vous...

Burundi - Politique13 octobre 2022
|61ème anniversaire de l’assassinat du Prince Louis Rwagasore

Burundi – Rdc – Politique28 juin 2022
|A la veille du 62ème anniversaire de l’indépendance de la Rd Congo, une spécialiste s’exprime…

Burundi - Politique1er juin 2022
|L’état de la démocratie au Burundi

Burundi – Médias3 mai 2022
|La Patronne de l’Afjo accorde une interview à Net Press à l’occasion de la journée internationale de la liberté de la presse

Burundi - Communication25 mars 2022
|Interview exclusive avec l’Honorable Fabien Banciryanino

Burundi - Communication18 mars 2022
|Marie Soleil Frère. Chercheur qualifié au Fonds...

Ambassade de Belgique au Burundi1er juillet 2021
|Visa pour la Belgique

Fondation Mo Ibrahim10 mars 2021
|Le président Mahamadou Issoufou lauréat 2020 du Prix Ibrahim pour un leadership d’excellence en Afrique

Burundi - Génocide21 octobre 2020
|{{MEMORANDUM SUR LA SITUATION ACTUELLE PREVALANT AU BURUNDI}}

Burundi - Sécurité11 janvier 2020
|Un corps sans vie d’un vieil homme découvert au Nord-ouest du pays

Burundi - Planning familial12 novembre 2019
|"Près d’un demi-million de femmes utilisent aujourd’hui une méthode moderne de contraception au Burundi", dixit Family Planning 2020, FP2020

Burundi - Confessions Religieuses28 octobre 2019
|Le président de l’Église mondiale du septième jour, Ted N.C. Wilson vient d’écrire une lettre à l’Église adventiste du Burundi que la rédaction livre a son intégralité pour dénoncer ce harcèlement :

Burundi - Rdc - Politique16 novembre 2018
|Interview d’Espoir Ngalukiye de LUCHA

Burundi - Santé12 novembre 2018
|Message du Dr Matshidiso Moeti, Directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique, à l’occasion de la Semaine mondiale pour un bon usage des antibiotiques 12-18 novembre 2018

Burundi - Politique24 août 2018
|Interview du Président du parti PARENA

6 juillet 2018
|4.7.2018PROPOSITION DE RÉSOLUTION COMMUNE...

WORLD BANK GROUP31 mai 2018
|COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Burundi - Politique25 mai 2018
|COMMUNIQUE DU GOUVERNEMENT

Burundi - Opinion17 avril 2018
|DECLARATION DE LA CONFERENCE DES EVEQUES CATHOLIQUES DU BURUNDI CONCERNANT LA CONTRIBUTION POUR LES ELECTIONS DE 2020

WORLD BANK GROUP6 mars 2018
|Communiqué

Burundi - France - Démocratie23 octobre 2017
|Lettre ouverte des coordinateurs de la campagne “Tournons la page” à Emmanuel Macron

Par António Guterres8 février 2017
|Un continent plein d’espoir

Délégation de l’Union européenne au Burundi28 juillet 2016
|L’Union européenne (UE) publie les principaux résultats de ses activitésen matière de coopération internationale et de développement

Burundi – Sécurité16 mars 2016
|Les enfants paient les frais de la folie de leurs parents

3 mars 2016
|Procès du 26/02/1926 contre Kanyarufunzo,...