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Burundi – Eac – Sécurité28 avril 2023
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Burundi – Sécurité20 avril 2023
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Burundi – Sécurité17 avril 2023
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Burundi – Justice10 avril 2023
|Limogeage puis incarcération : de mal en pis pour Domithile Ntunzwenimana

 

 

 

 

 

 



Burundi - Sécurité

La police appréhende de jeunes Congolais pour observation de leur culture

21 juin 2018

Bujumbura, le 21 juin 2018 (Net Press) . Au moins une dizaine de jeunes Congolais, filles et garçons confondus, ont été arrêtés en fin de matinée par les éléments de police basés à la Sogemac, société de gestion du marché central, dont le siège se trouve à l’ancien marché central de Bujumbura parti en fumée le 27 janvier 2013.

Selon des informations obtenues auprès de ceux qui ont assisté à la scène, ces jeunes poursuivent leurs études à l’école de Bujumbura mais dont le programme est celui de la République démocratique du Congo, appelée d’ailleurs école de la Rdc. Selon toujours ces informations, quand les examens de troisième trimestre sont terminés, ces jeunes, tout comme les jeunes Congolais en général, déchirent leurs uniformes et mettent de la farine de manioc dans leurs figures, juste pour exprimer leur joie de voir les examens terminés.

Ces dans ce contexte que ces éléments de la police les ont arrêtés et les ont fait monter à bord d’une camionnette Pickup de la police, vers une destination inconnue. Cette arrestation a eu lieu en plein centre-ville, presqu’au niveau du centre culturel français, sur la chaussée du prince Louis Rwagasore. Ces derniers n’ont affiché aucune résistance et ont obtempéré, sans inquiétude aucune car ils étaient conscients qu’ils sont innocents puisqu’ils ne vont pas s’attirer des foudres de leurs parents qui acceptent volontiers de leur acheter d’autres uniformes pour l’année suivante.

Burundi - Justice

Melchiade Nzopfabarushe libre de ses mouvements

Bujumbura, le 21 juin 2018 (Net Press) . Melchiade Nzopfabarushe, un cadre du Cndd-Fdd au pouvoir, vient de passer sa première nuit d’homme libre alors qu’il avait été désavoué par sa formation politique au mois d’avril 2018. En effet, lors d’un meeting à Migera dans la zone de Kabezi dont il est originaire, il avait prononcé, en date du 15 avril 2018, des propos incendiaires qui pouvaient subvertir la population, accusé également de propager les rumeurs, de dresser les populations contre les autorités et d’outrage au parti Cndd-Fdd.

Pour cela, il avait été entendu par le parquet de Bujumbura et le représentant du ministère public avait requis une peine de six ans contre lui. Après le délibéré, il avait été condamné à trois de prison ferme et à une amende de 600.000 Fbu. Même sa formation politique s’était constituée en partie civile et avait exigé elle aussi des frais de dédommagement.

Une certaine opinion avait fait croire que l’emprisonnement de Melchiade Nzopfabarushe, en date du 29 avril 2018, n’était qu’un trompe-l’œil d’autant plus que ce cadre avait dit tout haut ce que les autres pensaient tout bas. En tout cas, cela était la position de la plateforme du Cnared et de l’opposition intérieure pilotée par le Frodebu du tandem Bamvuginyumvira - Ngendakumana. Ils avaient indiqué que ce juriste ne devrait pas passer plus de trois mois en prison, l’histoire vient de leur donner raison quelque part.

De son côté, son avocat, Me Alexis Ndikumana, avait réagi contre ce jugement qu’il trouvait excessif et avait décidé d’interjeter appel. La cour d’appel de Bujumbura vient donc de réduire la peine, la ramenant de trois ans à quatre mois, d’où il a quitté la prison dans l’après-midi de ce 20 juin 2018.

Burundi - Malversations Economiques

L’Olucome contre l’augmentation continuelle de la dette intérieure

Bujumbura, le 21 juin 2018 (Net Press) . D’entrée de jeu, cet observatoire s’oppose à l’augmentation continuelle de la dette intérieure sans contre partie au niveau de la production nationale qui est en phase de récession. Il dit qu’il est fortement préoccupé par l’approche du gouvernement de continuer à s’endetter pour seulement son fonctionnement, auprès des partenaires financiers nationaux et internationaux alors que le taux de croissance reste négatif depuis 2015.

Pour s’endetter, le gouvernement recourt au bon du trésor, qui est une dette à court terme qui sert à financer les emprunts et dettes de l’Etat. Pour cet observatoire, il existe deux types de bons du trésor, celui à taux fixes appelés Btf et celui à taux fixes et intérêt annuel appelés Btan.

L’Olucome, interprétant le rapport d’exécution du budget de l’Etat, exercice 2018, trouve que le gouvernement a émis des titres de trésor de 39 milliards de nos francs au mois de janvier, de 44,9 milliards au mois de février et de 49,9 milliards de francs burundais au mois de mars, soit un total de 133,8 milliards dans un trimestre. Pire, le gouvernement rembourse très mal car il procède souvent par tranche de 20% et la dette ne fait que s’accumuler.

Et quand l’émission des bons de trésor n’est plus possible, le gouvernement recourt à la planche à billet, un instrument utilisé en dernier recours car elle occasionne l’accroissement de l’inflation, la dévalorisation de la monnaie, le recul tangible de l’économie. Avec cette situation, l’endettement intérieur du Burundi est supérieur à celui enregistré dans 40 ans jusqu’en 2009, soit plus de 1500 milliards de nos francs ou 108,6 % du budget général de l’exercice 2018.

Ce retard de paiement est donc un fardeau pour les générations futures alors que le gouvernement devrait résoudre les problèmes politiques existants qui créent cette situation financière critique. C’est pour cela que l’Olucome a émis des recommandations dont la principale est de résoudre, avec tous les protagonistes, les problèmes enclenchés avec la crise d’avril 2015 à travers un dialogue inclusif inter burundais externe.

Burundi - Culture

Le Burundi se joint au monde pour célébrer la fête de la musique

Bujumbura, le 21 juin 2018 (Net Press) . Le 21 juin de chaque année, le monde entier célèbre la fête de la musique. Au Burundi, cette journée arrive au moment où il y a un peu trop de défis à relever. En effet, le Burundi compte beaucoup d’artistes, les uns encore plus jeunes par rapport aux autres, mais dont les talents ne sont plus à démontrer, au regard des chansons produites ces dernières années.

Malgré les multiples recommandations allant dans le sens du respect des droits d’auteur, plusieurs stations et agences de publicités outrepassent cette recommandation et les artistes sont désolés de voir leurs œuvres passer à la radio, à la télévision gratuitement ou dans des maisons de publicités gratuitement. Des fois, ces derniers expliquent aux artistes qu’ils le font pour leur bien car ils sont connus du public après exhibition de leurs arts.

Cette situation fait que les artistes burundais vivent dans une pauvreté extrême et ne parviennent pas à couvrir leurs besoins alors que leurs arts sont des sources très sûres de leur existence. En outre, suite à la conjoncture actuelle, il y a plusieurs artistes qui ont fui le pays, notamment Ajoba Love et l’équipe de Lion’s Story qui tentent de se relever à partir de l’exil où ils vivent mais si cela n’est pas évident.

Pourtant, le président de l’Amicale des Musiciens du Burundi, Bruno Simbavimbere alias Member, appelle les jeunes à considérer la musique comme du travail au même titre que les autres. Cette journée a été observée au Centre jeunes Kamenge, dans la zone de Kamenge, commune urbaine de Ntahangwa, au Nord de la capitale Bujumbura.

Burundi - Usa - Immigration

"Trump signe un texte pour éviter la séparation des familles", selon Rfi

Washington, le 21 juin 2018 (Net Press) . Dans un spectaculaire retournement, le président américain Donald Trump a signé mercredi un décret pour éviter la séparation des familles de migrants ayant franchi illégalement la frontière avec le Mexique. L’administration américaine était sous le feu des critiques, tant au niveau national qu’international, alors que plus de 2 300 mineurs ont été séparés de leurs parents en cinq semaines.

Le président et son équipe répètent depuis plusieurs jours qu’ils ne font qu’appliquer la loi et que seule une modification de cette dernière par le Congrès permettrait de mettre fin aux séparations très critiquées, aux Etats-Unis mais aussi à travers le monde. Face aux images d’enfants séparés de leurs parents à la frontière qui ont bouleversé l’Amérique et le monde, Donald Trump s’est longtemps arc-bouté. Puis face au malaise politique grandissant dans son propre camp, il a soudain fait volte-face.

Le président américain a annoncé mercredi qu’il allait signer un texte pour éviter la séparation des familles de migrants ayant franchi illégalement la frontière avec le Mexique. « Cela me tient particulièrement à coeur [...] Nous voulons que les familles restent ensemble. C’est très important », a affirmé Donald Trump en signant le décret dans le Bureau ovale, quelques heures après avoir annoncé qu’il allait mettre fin à cette pratique qui lui a valu une avalanche de critiques, y compris au sein de son propre camp.

De leur côté, les démocrates n’entendent pas voter le projet de loi sur l’immigration qu’exige le président américain, rapporte Anne Corpet, envoyée spéciale permanente de RFI à Washington. C’est ce qu’explique Joaqim Castro, représentant démocrate du Texas : « On veut résoudre ce problème mais on ne veut pas que le président utilise ces abus comme un levier pour obtenir de notre part un mur à la frontière ou pour expulser les immigrés sans procédé légal. Donc oui, nous sommes tout à fait d’accord pour résoudre ce problème mais nous n’allons pas troquer la fin du traumatisme de ces gens contre un mur à la frontière. ».

Pour continuer à pouvoir incarcérer 100 % des migrants qui entrent clandestinement dans le pays, le décret de Donald Trump prévoit d’abroger le texte qui limite à vingt jours la détention de famille de migrants. Les associations de défense des droits de l’homme entendent porter l’affaire en justice.

De plus, ce décret ne résout pas la crise humanitaire aux frontières. Près de 2 300 enfants ont été séparés de leurs familles et il ne sera pas facile de retrouver leurs parents rapidement.

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