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Burundi – Sécurité5 mai 2023
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Burundi – Sécurité4 mai 2023
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Burundi – Politique – Sécurité2 mai 2023
|Le secrétaire général de l’Onu attendu à Bujumbura

Burundi – Sécurité1er mai 2023
|Une femme attrapée en tentant de voler dans un champ appartenant au chef de l’Etat

Burundi – Société - Sécurité29 avril 2023
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Burundi – Eac – Sécurité28 avril 2023
|Le commandant de la force régionale de l’Eac rend le tablier

Burundi – Justice27 avril 2023
|Comparution de l’ancien premier ministre Alain Guillaume Bunyoni ?

Burundi – Sécurité – Environnement26 avril 2023
|Les habitants de Kanyosha désemparés…

Burundi – Sécurité25 avril 2023
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Burundi – Sécurité24 avril 2023
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|Les défenseurs des droits de l’homme se disent engagés … !

Burundi – Justice21 avril 2023
|Le colonel Désiré Uwamahoro serait désormais locataire de la prison de Murembwe

Burundi – Sécurité20 avril 2023
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Burundi – Sécurité18 avril 2023
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Burundi – Sécurité17 avril 2023
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Burundi – Sécurité15 avril 2023
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Burundi – Justice14 avril 2023
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Burundi - Justice13 avril 2023
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Burundi – Sécurité12 avril 2023
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Burundi – Justice10 avril 2023
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Burundi-Sécurité

Cinquante-trois personnes irrégulières arrêtées en province de Makamba !

9 octobre 2020

Makamba, le 9 octobre 2020 (Net Press) . Cinquante-trois personnes en situation irrégulière ont été arrêtées ce jeudi 8 octobre lors d’une fouille-perquisition opérée par quelques éléments de la police et des militaires sur la colline de Nyabigina, en zone de Kabuye, commune et province de Makamba, au Sud du pays et sont détenus au commissariat provincial de la police de cette province.

Selon nos information, cette localité a été réveillée par une imposante présence de policiers et militaires lourdement armés avant d’opérer ladite fouille-perquisition. Cinquante-trois personnes dont une large majorité n’avaient pas de carte d’identité ont été transmis manu militari au commissariat provincial de la police de Makamba. Une moto sans plaque d’immatriculation a été saisie.

L’administration civile et policière disent que cette fouille-perquisition rentre dans leur travail de routine. Mais selon nombreux témoignages sur place, il est devenu monnaie courante que depuis le mois d’août, quelques éléments de la police et des militaires, de concert avec les membres de la ligue des jeunes Imbonerakure, effectuent des fouilles-perquisition et des éléments soupçonnés de collaborer avec des hommes armés ont été appréhendés. D.N.

Burundi - Justice

L’ancien député Fabien Banciryanino passe sa première nuit en prison

Bujumbura, le 9 octobre 2020 (Net Press) . L’ancien député a été transféré dans une prison non encore communiquée ce jeudi soir. C’est le parquet de Ntahangwa ( nord de Bujumbura) qui a décidé sa détention « préventive » après plusieurs heures d’interrogatoire, il est accusé de participation à des bandes armées, d’atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat et de dénonciation calomnieuse.

Il était vers 10 h 30 de ce 8 avril quand l’ancien député Fabien Banciryanino, à bord d’un camion de la police nationale appelé communément " Je m’en fou ", escorté par quatre policiers, est arrive au parquet de la République de Ntahangwa, devant une foule curieuse de connaître son sort. Tout comme les autres détenus, il a été placé dans une petite cellule pour y rester pendant plusieurs heures. Ce n’est que vers 15h 25 que l’ancien député Fabien Banciryanino, apparemment épuisé et escorté par deux policiers, a salué une foule de gens venus assister à son audition. Il a été entendu par un juge du parquet de la République de Ntahangwa pendant plus de trois heures.

Les journalistes de l’agence Net Press, de la Radio Isanganiro, de la Radio Culture et du groupe de presse Iwacu, n’ont pas été autorisés de suivre son audition. Vers 19 hoo, il a été transféré dans l’un des établissements pénitentiaires non encore connu. Il était accompagné par deux avocats. Ces derniers n’ont pas voulu s’exprimer à la presse après l’audience. Cet ancien député avait été arrêté ce vendredi 2 octobre à son domicile sis en zone Ngagara, commune urbaine de Ntahangwa, au Nord de la capitale économique, détenu au bureau spécial de recherche.

Et dans la même foulée, l’ancien député Fabien Banciryanino, avait écrit le 7 octobre une correspondance au président de la commission nationale indépendante des droits de l’homme (Cnidh) ayant pour objet l’information et l’appel au secours. A travers cette correspondance, il informe cette commission qu’il a été arrêté en date du 2 octobre 2020 et conduit manu militari au cachot du bureau spécial de recherche sans aucun mandat ni un quelconque autre titre d’arrestation.

Dans cette correspondance, l’on peut lire dans son interrogatoire, ces accusations portent sur les propos qu’il a tenus à l’occasion de ses interventions dans les sessions de l’assemblée nationale en sa qualité de député au cours de la législature 2015-2020. Selon lui, c’est donc sur base de ses interventions dans les sessions de l’assemblée nationale qu’il est poursuivi pour avoir tenu des propos diffamatoires à l’endroit du chef (Article 267 du code pénale ) et de « attentat et complots contre le personne du chef de l’Etat (Article 605 du code pénal).

Fabien Banciryanino reconnait avoir fait des interventions dans bon nombre de sessions de l’assemblée nationale mais qui sont loin de constituer des infractions contre qui ce soit, surtout pas du chef de l’Etat à qui il doit tous les respects liés à ses hautes fonctions. L’ancien député Fabien Banciryanino dit qu’au terme des articles 41 et 155 de la constitution de la République du Burundi et 13 du règlement d’ordre intérieur de l’assemblée nationale, l’ancien député ne peut être poursuivi pour les propos tenu en session parlementaire, sauf en cas de flagrance, auquel cas une certaine procédure doit être respectée.

L’ancien député Fabien Banciryanino affirme qu’il est visible que tous ces tracas sont dus à des correspondances qu’il a adressées respectivement au ministre de l’intérieur, de la sécurité publique et du développement communautaire, au maire de la ville de Bujumbura et au commissaire général de la police judiciaire.

L’objet était de leur demander de l’aider, chacun en ce qui le concerne, à démentir les propos dommageables d’un certain Arthur Bizabishaka « journaliste » de Burundi Bwacu online et diffusé via you tube qu’il a tenu à son endroit dans ses audios du 28 septembre 2020. Au lieu de recevoir une suite favorable à sa requête, il a été arrêté quelques heures seulement du moment prévu pour recevoir les journalistes invités à cet effet.

L’ancien député Fabien Banciryanino demande au président de la commission nationale indépendante des droits de l’homme d’user de ses prérogatives et mission et lui demande son implication dans la conduite de l’instruction de ce dossier qui, selon lui, ne respecte pas la loi, ce qui aboutit au résultat de bafouer ses droits les plus élémentaires. N.R.

Burundi - Politique

Un militant du Cnl porté disparu

Kirundo, le 9 octobre 2020 (Net Press) . Oscar Nahimana, un militant du parti de l’opposition conseil national pour la liberté (Cnl) et membre de la commission communale en charge des élections dans la commune et province de Kirundo (nord du Burundi) est introuvable depuis le 28 septembre dernier. Il a disparu après être interpellé par des jeunes du parti au pouvoir, en collaboration avec des policiers. Les faits ont eu lieu dans la localité de Runyonza, sur le secteur de Budahanga. Ses proches disent l’avoir cherché dans tous les cachots,

Selon nos sources, M. Nahimana a été arrêté dans un bistrot du coin alors qu’il partageait un verre avec des amis. Il a été embarqué dans un véhicule d’un responsable provincial de la ligue des jeunes Imbomerakure.

« Premièrement, il a reçu un appel téléphonique de la part du président de la CEPI-Kirundo (commission électorale provinciale indépendante). Il lui demandait où il se trouvait à ce moment là. Après quelques instants, le responsable des Imbonerakure dans la province, Abel Ahishakiye, est arrivé au bistrot où M. Nahimana se trouvait. Il était accompagné par deux policiers et trois Imbonerakure. Ils ont procédé à l’arrestation de ce membre du Cnl sans rien expliquer », disent des témoins oculaires.

Des proches indiquent que l’opposant aurait été assassiné, des individus proches des renseignements et la police sont mis en cause. Ils exigent de la police, de l’administration locale et du service national de renseignements de communiquer son lieu de détention. Pascal Manariyo, président de la commission provinciale en charge des élections, cité dans cette affaire, s’est contenté de dire qu’il s’agit de « mensonges ». J.M.

Burundi - Histoire

Octobre, période de décès de plusieurs leaders dans monde

Bujumbura, le 9 octobre 2020 (Net Press) . Le mois d’octobre a enregistré plusieurs personnalités qui ont marqué leurs pays respectifs ou le monde, d’où la rédaction a jugé bon de revenir sur leurs cas. Pour des raisons pratiques, la rédaction a jugé bon de présenter ces quelques exemples de façon chronologique.

A tout seigneur, tout honneur, la première personnalité que la rédaction voudrait évoquer ici est le prince Louis Rwagasore. Fils aîné du Mwami Mwambutsa Bangiricenge, né le 10 janvier 1932, il prit l’option de lutter pour une indépendance immédiate, ce qui lui a valu purement et simplement le courroux de l’administration coloniale.

Ayant gagné les élections législatives le 18 septembre 1961, il sera tué le 13 octobre de la même année, moins d’un mois après sa nomination comme premier ministre. Le tueur à gage, le Grec Jean Kageorgis, son meurtrier, sera pendu le 30 juin 1962, à la veille de l’indépendance, le 1er juillet. Les proches de Rwagasore estimaient que le Burundi ne pouvait pas accéder à son indépendance alors que celui qui a tué le père de l’autonomie est encore en vie.

Quelques années plus tard, sous d’autres cieux, le monde a vu la naissance d’un certain Ernesto Guevara, plus connu comme « Che Guevara » ou « le Che ». Il est né le 14 juin 1928 à Rosario en Argentine et mort exécuté le 9 octobre 1967 à La Higuera en Bolivie, à l’âge de 39 ans. Il était révolutionnaire, marxiste-léniniste et internationaliste argentin ainsi qu’un homme politique d’Amérique latine.

Thomas Sankara est né le 21 décembre 1949 à Yako en Haute-Volta et il trouvera la mort, assassiné, le 15 octobre 1987 à Ouagadougou au Burkina Faso. C’était un homme d’État anti-impérialiste, révolutionnaire et socialiste. Il a été président du pays durant la période de la première révolution burkinabè du 4 août 1983 au 15 octobre 1987, il fut renversé par son ancien compagnon Blaise Compaoré avant d’être chassé à son tour du pouvoir par le balai citoyen.

Selon certaines informations non encore confirmées, ce jeune président, 37 ans à l’époque de son coup d’Etat, énervait beaucoup le président français François Mitterrand de par ses positions et déclarations si bien que ce dernier se serait posé la question de savoir comment il va se comporter à 67 ans au moment où il est pratiquement ingérable à cet âge, d’où il aurait passé par son compagnon de toujours pour l’éliminer.

Pour revenir dans notre pays, en date du 21 octobre 1993, le premier président hutu démocratiquement élu était assassiné par un groupe de militaires tutsi. Il a dirigé le pays pendant une courte période de trois mois et onze jours. Son assassinat engendrera des troubles dans tout le pays, mais il finit par être qualifié de "héros de la démocratie" par l’assemblée nationale.

Le 20 octobre 2011, dans les environs de Syrte, a été tué le guide libyen Mouammar El Kadhafi, un homme politique né en 1942 à Qasr Abou Hadi. Depuis 41 ans au pouvoir, il est menacé par une contestation populaire que la répression sanglante transforme en une insurrection armée qui l’a capturé, lynché puis assassiné par après.

Certaines informations indiquent que le pouvoir de Nicolas Sarkozy, ancien président français, serait derrière cet assassinat. Même au niveau de la justice française, l’on soupçonne ce président pour le fait que l’ancien président libyen aurait financé la campagne de Nicolas Sarkozy et que sa mort viendrait à effacer toute trace de ce financement illicite.

Le lendemain, 21 octobre 2011, en France, le Burundi perdit un de ses fils, en la personne de Térence Nsanze. Ancien candidat au poste de secrétaire général de l’Onu, il n’a pas eu cette chance car les autorités burundaises d’alors l’ont rappelé pour le contraindre à rester sur sa colline natale de Rutovu, province de Bururi, au Sud du pays.

Il créa sa formation politique ABASA et participa aux négociations d’Arusha qui ont été signés le 28 août 2000 et qui ont abouti à la cessation des hostilités, au partage du pouvoir et à l’intégration des anciens combattants dans les corps de défense et de sécurité. En France, il aurait été hospitalisé dans une structure des soins au 7ème arrondissement où il aurait accusé les médecins français de non assistance à personne en danger. Ils venaient de lui annoncer qu’il est porteur d’une maladie incurable et que ses jours étaient comptés.

Le roi rwandais Kigeli V, connu sous le nom de Jean Baptiste Ndahindurwa est né en 1936 à Kamembe et dirigea le Rwanda de 1959 à 1961, date à laquelle la monarchie fut abolie. Il fut obligé de prendre l’exil et dans la culture de ce pays, un roi, célibataire, ne peut pas prendre femme en dehors de son pays, raison pour laquelle il est mort célibataire à l’âge de 80 ans à Oakton, en Virginie, aux Etats-Unis.

Enfin, pour ne pas terminer sur une page nécrologique, l’on peut également noter qu’en date du 13 octobre 1934, était née Nana Mouskouri, une chanteuse et une femme politique grecque. Elle commence sa carrière de musique en 1958 et enregistra plus de 1550 chansons dans plusieurs langues comme le français, le grec, l’anglais, l’allemand, le néerlandais, l’italien, l’espagnol, le japonais, la gallois et le hébreu. De 1994 à 1999, elle était eurodéputée de la Nouvelle Démocratie, parti grec de droite modéré. N.B.

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