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Burundi – Médias3 mai 2023
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Burundi – Eac – Sécurité28 avril 2023
|Le commandant de la force régionale de l’Eac rend le tablier

Burundi – Justice27 avril 2023
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Burundi – Sécurité24 avril 2023
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Burundi – Sécurité20 avril 2023
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Burundi – Justice10 avril 2023
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Burundi - Sécurité

Le ministère ayant en charge la sécurité publique met en garde !

19 octobre 2020

Bujumbura, le 19 octobre 2020 (Net Press) . A travers le porte-parole du ministère de l’intérieur, de la sécurité publique et du développement communautaire, Pierre Nkurikiye, ce ministère met en garde les fidèles de l’église adventiste du 7ème jour qui s’adonneront à semer des troubles. Ils seront poursuivis conformément à la loi, précise-t-il.

Pierre Nkuririkiye, dans un message qu’il a livré, a fait savoir que dans l’objectif du ministère d’aider certaines églises à résoudre pacifiquement leurs différents à travers le dialogue, invite les pasteurs et les retraités de l’église adventiste du 7ème jour dans une réunion qui se tiendra en date du 21 octobre avec la nouvelle direction de cette église et remercie les fidèles qui continuent à suivre le chemin de la réconciliation. Il demande aux autres fidèles à emboiter le pas à ces derniers .

Cependant, Pierre Nkurikiye a déclaré que le ministère de l’intérieur, de la sécurité publique et du développement communautaire met en garde les fidèles qui s’adonneront à des troubles, en promettant qu’ils seront poursuivis conformément à la loi.N.R.

Burundi - Justice

Une surpopulation carcérale qui inquiète !

Rumonge, le 19 octobre 2020 (Net Press) . C’est au commissariat provincial de la police de Rumonge, au Sud-ouest du pays, où plus de 90 personnes sont détenues dans le cachot alors que sa capacité d’accueil est de 30 seulement.

Selon nos sources, le cachot ne dispose pas de sanitaires ni de l’électricité, d’où elles qualifient de « détention inhumaine » ses pensionnaires qui sont des ressortissants des communes de Bugarama, de Buyengero, de Burambi, de Muhuta et de Rumonge.

D’après nos sources, « ils sont tellement nombreux qu’il est presque impossible de pouvoir s’assoir. La plupart sont des militants du Cnl qui ont été arrêtés dans les différentes communes de la province de Rumonge. »

La même source nous a signalé que les détenus peuvent passer un mois ou deux sans se présenter devant le juge de confirmation alors que selon le code pénal burundais, un détenu ne dépasse pas deux semaines dans un cachot de la police.

Les proches des détenus demandent au parquet d’accélérer les procédures afin que les dossiers soient clôturés. N.B.

Burundi - Justice

Un magistrat poursuivi pour s’être assis sur un fauteuil de feu président Nkurunziza souleve un vice de procédure

Bujumbura, le 19 octobre 2020 (Net Press) . Il s’appelle Egide Nahayo, cet ancien président du tribunal de grande instance de Rumonge (sud-ouest du Burundi) et ex magistrat de la cour d’appel de Bujumbura (capitale économique). Il a de nouveau comparu devant les magistrats de la cour suprême ce vendredi 16 octobre dernier. La défense a soulevé un vice de procédure qui, selon elle, empêche de traiter le fond du dossier : le magistrat a bénéficié d’une liberté provisoire depuis juillet dernier mais il est resté en prison

Selon un proche de sa famille biologique, le dossier du magistrat Égide Nahayo avait été fixé ce vendredi pour qu’il puisse se défendre devant le siège. La défense a préféré ne pas aborder le fond du dossier, invoquant un vice de forme. Selon l’avocat de la défense, Maître Bonaparte Niyubahwe, le juge a accordé la liberté provisoire à son client le 13 juillet de cette année. Selon lui, il ne peut pas aborder le fond du dossier avant qu’il soit libéré.

Et d’ajoute qu’il doit comparaître en étant libre et selon cet homme de droit qui assiste M. Nahayo, il ne comprend pas comment le juge est vite revenu sur la décision de libération alors que son client avait été libéré après avoir versé la caution lui exigée. Mais quelques temps après, le juge d’instruction a ordonné qu’il soit de nouveau arrêté.

Dès sa présentation devant le juge ce vendredi, Égide Nahayo avait d’abord sollicité une audience chez un procureur en charge de son dossier. Il lui a plutôt demandé de formaliser sa demande par une lettre. Devant le juge, l’intéressé a indiqué au siège qu’il ne peut en aucun cas se défendre pour des accusations « fausses ».

Pour lui, les faits lui reprochés ne constituent pas un fait infractionnel. Signalons qu’il est poursuivi pour deux infractions, à savoir l’usurpation de fonctions ainsi que l’outrage à Chef de l’État.

Il avait été interpellé en janvier 2019. Il s’était fait photographier assis dans le fauteuil de l’ancien président de la République, feu Pierre Nkurunziza, après une réunion du conseil supérieur de la magistrature dans la province de Rumonge. Selon un membre de sa famille, le magistrat est victime des conflits qui existent entre lui et certains de ses supérieurs de l’époque. L’affaire a été reportée à une autre date ultérieure. J.M.

Burundi - Justice

Emprisonné pour avoir empoché 50.000 Fbu !

Bujumbura, le 19 octobre 2020 (Net Press) . Il se prénomme Martin, ce magistrat basé dans la province de Muramvya, qui a été attrapé en flagrant délit avec un montant de 50.000 Fbu qu’il détenait d’un prisonnier de la commune de Mbuye, dans la province de Muramvya, au Centre du pays.

Selon nos sources d’informations, le prisonnier en question avait son dossier qui était en délibéré et il aurait intéressé le magistrat pour qu’il intervienne en sa faveur. Des collègues à lui dénoncent un tel comportement où un magistrat se fait avoir pour un montant aussi dérisoire.

Il a été enfermé dans la prison de Mpimba, dans la capitale économique Bujumbura. Il serait sur le point d’être jugé dans une séance de flagrance à la cour anti-corruption qui se trouve elle aussi à Bujumbura. Selon des sources proches du dossier, il devrait être sérieusement sanctionné. Ch.N.

Burundi - Recherche Scientifique

Vers la paralysie des activités du conseil pédagogique et scientifique de l’école doctorale de l’ université du Burundi ?

Bujumbura, le 19 octobre 2020 (Net Press) . La paralysie des activités du conseil pédagogique et scientifique de l’ école doctorale de l’université du Burundi qui devrait d’ici peu contribuer remarquablement à l’ amélioration de la qualité de l’enseignement au Burundi et dans la sous- région, devient de plus en plus une triste réalité, selon des sources proches de cette école.

En effet, les membres de cet organe viennent de passer plus d’une année sans pouvoir se réunir, pour des raisons non encore élucidées, et ce, en violation de l’article 31 du décret N° 100/06 du 12 janvier 2015 portant création et organisation de l’école doctorale au Burundi.

Cet article stipule que : « Le Conseil pédagogique et scientifique de l’école doctorale se réunit et en session ordinaire une fois par trimestre et chaque fois que de besoin, sur convocation de son Président, agissant de sa propre initiative ou à la demande écrite d’au moins un tiers (1/3) des membres. L’invitation à la réunion est faite par écrit et transmise aux membres au moins quinze (15) jours avant la tenue de la réunion. Toutefois, la réunion extraordinaire est convoquée par écrit au moins cinq jours (5) avant la tenue de la réunion ».

Certains observateurs estiment donc que si rien n’est fait pour remédier à cette situation, la paralysie de cet organe qui ne fait que perdurer risquera d’entraîner la fermeture de cette structure de formation au regard des missions lui confiées telles que prévues par les articles 25 et 26 du décret susmentionné.

Les missions de cet organe portent entre autres sur l’adoption des programmes d’actions de l’école doctorale, la gestion par délibérations des affaires qui relèvent de l’école doctorale, l’organisation des formations des doctorants ; la coordination des équipes et des unités de recherche ; l’amélioration des conditions d’encadrement des doctorants et l’aide à l’insertion professionnelle des doctorants.

A titre d’illustration de ces conséquences multiples qui inquiètent déjà plus d’un, c’ est la 3ème cohorte de cette école doctorale qui n’a pas encore eu lieu alors qu’elle est attendue depuis le mois de mars 2020 ainsi que la validation des comités d’accompagnement des doctorants qui tardent à avoir lieu.

Actuellement donc, certains doctorants s’inquiètent déjà de l’avenir de cette structure de formation et sollicitent l’implication effective de l’autorité compétente pour pallier à cette situation. En outre, l’on devrait préciser que la réunion des membres de ce conseil n’exige pas de jeton de présence, d’où ce n’est pas un problème d’argent qui se pose.

La rédaction a constaté le directeur de l’école doctorale, Juma Shabani, pour avoir des éclaircissements sur l’absence de réunions de ce conseil. Il a répondu par la négative tout en affirmant que tout va bien à l’école doctorale. La rédaction a tenté également de contacter le recteur de l’université du Burundi sur ce point, mais en vain. D.N.

Burundi - Administration

A quand l’harmonisation de l’âge de départ à la retraite pour les agents de l’administration publique ?

Gitega, le 19 octobre 2020 (Net Press). L’ harmonisation de l’âge de départ à la retraite pour les agents de l’administration publique est une question d’équité comme c’est le cas pour l’harmonisation des salaires, telles sont les préoccupations de certains salariés de l’Etat approchant l’âge de 60 ans qui se sont confiés à notre rédaction.

Ces préoccupations ont été exprimées au lendemain de l’amendement du sénat lors de la séance d’analyse du projet de loi portant révision du code électoral qui a eu lieu jeudi 15 octobre 2020 à Gitega.

En effet , lors de l’ analyse de ce projet de loi, les sénateurs ont souhaité que l’âge de départ à la retraite soit fixé à 60 ans au lieu de 65 ans pour « donner plus de chance aux chercheurs d’emploi d’ être embauchés et permettre aux travailleurs en âge de la retraite de se reposer ».
Selon nos sources, cet amendement a surpris désagréablement certains agents qui rentrent à 60 ans, surtout qu’ils n’ont pas eu le temps de préparer convenablement leur retraite suite à la suspension des annales intervenue depuis 2015.

Ces agents de l’administration publique trouvent aussi qu’il s’agit d’un amendement qui revêt un caractère injuste du moment que ceux qui rentrent à 65 ans représentent actuellement plus de 96% des agents de l’administration publique (magistrature, enseignement et personnel médical) et que, de surcroit, il n y a plus de fonctionnaires rares dans le pays comme ce fut le cas ces 20 dernières années.

Ceux-ci font remarquer que rien ne peut justifier qu’un infirmier qui travaille dans le service de chirurgie ou d’anesthésie peut travailler jusqu’à 65 ans alors qu’un secrétaire de direction ou cadre du ministère de la Fonction Publique est obligé de partir de à la retraite à 60ans. Que dire d’un éditorialiste de la radio et télévision nationales qui rentre à 60 ans alors que dans le métier d’informer, plus l’on acquiert de l’expérience, mieux on informe, objectivement.

Ces agents qui se sont confiés à notre rédaction demandent aux honorables députés de ne pas revenir sur leur décision, de constater que cet amendement proposé par le sénat est injuste au regard du pourcentage que représente ceux qui rentrent à 60 ans. Ces agents de l’administration publique demandent aussi aux députés de tenir compte aussi des conditions de vie des retraités car actuellement, disent ils, « le départ à la retraite est actuellement synonyme de la mort ». Ces agents sollicitent aussi l’implication effective de ces élus du peuple pour que la promesse du chef de l’Etat visant à améliorer les conditions de vie des retraités soit concrétisée.

Signalons à toutes fins utiles que ce projet de loi qui avait fait objet de consensus entre les représentants des syndicats de travailleurs et du Bureau de l’Oit avait été approuvé par le gouvernement du Burundi, avant d’ être adopté par l’assemblée nationale. J.M. 

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