Mamoudzou, le 19 juillet 2022 (Net Press) . Il s’appelle Mohamed Feruzi, cet ancien gouverneur de la province de Muyinga, au Nord-est du pays. Membre du parti Cndd-Fdd, il succombé à ses blessures que lui ont infligées quatre jours plus tôt, le 13 juillet, au moyen des objets contondants, a Mamoudzou, en Iles de Mayotte, par des éléments non encore connus.
Selon nos sources, des informations concordantes rapportent que cet ancien bras droit de l’ancien président de la République, feu Pierre Nkurunziza serait parmi les signataires d’un « non au mandat de trop du président Pierre Nkurunziza ». Vers 2017, il a opté pour l’exil dans les Iles de Mayotte devenues depuis le 31 mars 2011, le 101ème département français. Dans la foulée, il avait obtenu le statut de région ultrapériphérique de l’Union européenne et s’occupait des affaires personnelles.
Dans la nuit de ce mercredi 13 juillet, il a été assailli par des éléments non encore identifiés, qui l’ont attaqué à l’aide des machettes et des gourdins. Ils ne lui ont laissé aucune chance de survie car quelques jours plus tard, il a rendu son âme. C’est une désolation totale pour sa famille qui était encore dans notre pays. N.R.
Burundi – Communication
Le journaliste reporter du journal en ligne « La nova » inquiété !
Bujumbura, le 19 juillet 2022 (Net Press) . Il se prénommé Pascal, ce journaliste du journal en ligne « La Nova ». Il est inquiété par des éléments non encore connus suite à ses reportages aux manquements de l’administrateur de la commune de Kiremba, en province de Ngozi, au Nord du pays, liés à la vente des maisons publiques. Ce comportement avait été pourtant décrié par le président de la République, Evariste Ndayishimiye, lors de l’intronisation du nouveau gouverneur de la province de Ngozi.
Une opinion se pose la question de savoir qui, de celui qui vend les biens publics et de celui qui le rapporte est le plus coupable. Pourtant, les exagérations de cet administratif constituent un secret de polichinelle, d’où il ne devrait pas s’en prendre à un journaliste car il est victime de ses propres faits. N.R.
Burundi - Santé
Une substitution contre la pandémie Codid 19 !
Bujumbura, le 19 juillet 2022 (Net Press) . Le commissaire général de l’immigration, Maurice Mbonimpa, dans une correspondance écrite en date du 18juillet 2022, déplore un relâchement en rapport avec la gestion de Covid-19 et rappelle au public et au personnel des migrations que le port de masque est obligatoire. Une injonction qui sera mise en application à partir d’aujourd’hui. Une opinion parle d’« une substitution contre la pandémie covid 19 ».
Dans cette correspondance, l’on peut lire que « vu qu’il y a un relâchement total au niveau des mesures prises par le gouvernement du Burundi en rapport la gestion du covid 19, il est rappelé au public et personnel des migrations que le port des masques est obligatoire sans exception aucune depuis le mardi le 19 juillet 2022 ».
Cependant, une opinion parle que le maire de la ville de Bujumbura, à travers ses déclarations récentes que le taux de la propagation de cette pandémie covid 19 prend une allure inquiétante à partir du mois de juillet, il a invité le public à observer les mesures d’hygiène contre cette pandémie. Une opinion trouve que la Ministre de la santé publique et de lutte contre le sida devrait sortir de son silence pour informer au public que la situation actualisée de la pandémie comme cela se faisait sous son prédécesseur, Dr. Thaddée Ndikumana.
Burundi - Culture
Le club des tambourinaires « Ruciteme culture » suspendu par Gitega
Bujumbura, le 19 juillet 2022 (Net Press) . Le ministère ayant en charge la culture a suspendu dans la matinée de ce mardi, le club des tambourinaires « Ruciteme Culture » pour s’être autorisé de s’exhiber avec les étrangers en tenue négligé.
Pour rappel, le groupe dit « Amagaba » a été interdit en date du 10 février 2022 pour avoir « autorisé de s’exhiber en tenue de ville lors du lancement officiel des activités organisées par le festival de théâtre « Bujumbura sans tabou », pour le non- respect du principe sacré de l’emblématique rythme du tambour « Umurisho W’Ingoma ». N.R.
Burundi – Usa – Justice
« Assaut du Capitole : premiers jours du procès de Steve Bannon à Washington », dixit Rfi
Washington, le 19 juillet 2022 (Net Press) . Le procès de Steve Bannon s’est ouvert lundi 18 juillet devant un tribunal de Washington. L’ancien stratège de Donald Trump comparaît pour avoir refusé de coopérer avec la commission d’enquête parlementaire en charge de l’assaut contre le Capitole le 6 janvier.
Inculpé pour « entrave aux prérogatives d’enquête du Congrès », l’idéologue d’extrême droite risque de trente jours à deux ans de prison. Pendant sa première journée de procès, consacrée à la sélection des jurés, Steve Bannon ne s’est pas exprimé. A la sortie de l’audience, l’ex-conseiller de Donald Trump a néanmoins tenu à dénoncer une mascarade judiciaire.
Compte tenu de l’extrême sensibilité politique du dossier, il a fallu une journée pour sélectionner 22 jurés potentiels, un nombre qui sera ramené à douze titulaires et deux remplaçants mardi 19 juillet au matin. Conseiller discret mais très influent, il avait joué un rôle crucial dans l’élection du milliardaire républicain en 2016, en donnant un virage résolument populiste à sa campagne, avant d’être poussé vers la sortie l’année suivante.
Les mystérieux échanges du 6 janvier
Malgré son départ de la Maison Blanche, Steve Bannon est toujours resté proche, dans l’ombre de Donald Trump. A tel point que la veille de l’assaut du Capitole, l’idéologue de l’extrême droite populiste américaine a échangé plusieurs appels téléphoniques avec le président. Des appels dont la Commission d’enquête parlementaire sur le 6 janvier tient à connaître le contenu.
Pour cette raison, Steve Bannon, 68 ans, a reçu une citation à comparaître à laquelle il a refusé de se soumettre. C’est ce qui lui a valu en novembre son inculpation pour entrave au travail d’enquête du Congrès. A l’approche de son procès, Steve Bannon avait fait volte-face et accepté de coopérer avec les parlementaires.
Les procureurs avaient dénoncé « un revirement de dernière minute afin d’éviter » une condamnation et le juge en charge du dossier a souhaité maintenir le procès. Son procès s’ouvre alors que les auditions publiques de la commission se poursuivent. Craignant que cela n’influence le jury, ses avocats avaient demandé un report.
Refusé. Les audiences entrent dans le vif du sujet ce mardi. Après plus d’un an d’investigations, la commission détaillera la journée du 6 janvier telle que vécue par Donald Trump, « ce qui a été fait et ce qui n’a pas été fait », a expliqué dimanche l’élue démocrate Zoe Lofgren sur la chaîne ABC. L’ex-président républicain est soupçonné de n’avoir rien fait pendant près de trois heures, alors que ses partisans envahissaient le Capitole, semaient la violence et le chaos et forçaient les élus à interrompre la certification de la victoire de Joe Biden à la présidentielle. J.M.