Cibitoke, le 10 avril 2021 (Net Press) . Un corps sans vie a été découvert dans la matinée de ce vendredi 9 avril non loin du centre de santé de Rubirizi, dans la Commune Mugina, en province de Cibitoke, au Nord-ouest du pays. Des sources sur place affirment que la victime gisait dans un bain de sang, avec des blessures fraiches au niveau de la tête.
La police de cette localité administrative rapporte qu’elle avait effectué une ronde nocturne dans le parage du lieu du crime jusqu’à l’aube et que ce cadavre n’y était pas. Elle privilégie la piste qu’il aurait été tué ailleurs avant d’être jeté à 50 mètres du centre de santé de Rubirizi.
Les habitants et le personnel soignant de cet établissement sanitaire demandent une enquête pour qu’il y ait la lumière sur ce crime. L’administrateur de la commune Mugina, Julienne Ndayihaya, s’inscrit en faux contre cette criminalité et ajoute qu’elle va procéder à des enquêtes minutieuses pour connaitre l’identité de la victime avant son enterrement.
L’on saura qu’’il y a deux semaines, un autre corps sans vie avait été découvert tout près de la rivière Buziranyundo, sur la colline Rugajo, dans la même commune Mugina par des enfants qui gardaient des chèvres. La victime avait été enterrée avant que que l’administration ne l’identifie.
Quelques habitants de la commune Mugina se lamentent que la province de Cibitoke est devenue le théâtre des tueries qui prennent une allure inquiétante, d’autant plus que charge jour, des corps sans vie sont découverts dans cette province. D’autres ont vu des corps flottants sur la rivière de la Rusizi et demandent aux hommes en uniforme de veiller à la sécurité de la province de Cibitoke. N.R.
Burundi - Sécurité
La zone de Kinindo devient de plus en plus un paradis de vente de drogue
Bujumbura, le 10 avril 2021 (Net Press) . Des vendeurs de drogue communément appelée "Boost" sont de plus en plus présents dans la zone de Kinindo, de la commune urbaine de Muha, dans la capitale économique Bujumbura. Selon des sources à notre disposition, cette drogue se vend au grand jour et en complicité avec des policiers.
Ce produit proviendrait du Pakistan et d’Afghanistan, transiterait à Dar es Salam en Tanzanie ou à Mombassa au Kenya avant d’arriver au Burundi. Les vendeurs de cette drogue sont originaires de Kamenge, de Kinama et de Gihosha, au Nord de Bujumbura. Ils déclarent qu’ils font de bonnes affaires avec ce commerce.
Les mêmes vendeurs indiquent qu’ils sont intéressés par cette zone car elle regorge des jeunes dont les familles sont aisées, donc la vente est sûre. C’est dans ce contexte qu’à moins de 100 mètres des bureaux de la zone Kinindo, un ressortissant de Kamenge fournit ce produit aux élèves du lycée municipal de Kibenga. Ils disent par ailleurs qu’ils sont chassés quand ils vendent la drogue dans les zones de Kamenge ou de Kinama.
D’autres s’intéressent à la zone de Musaga et vendent les mêmes stupéfiants aux élèves de l’’école "New School" de Kinanira III. Dans les deux points de vente, les policiers préfèrent croiser les bras car "ce serait une affaire de grands". Les parents de la zone de Kinindo inquiétés par cette vente auraient déjà contacté les autorités à ce sujet, mais la réponse ou la réaction se fait toujours attendre. J.M.
Burundi - Sécurité - Confessions Religieuses
De l’intifada à l’église adventiste du 7eme jour
Bujumbura, le 10 avril 2021 (Net Press) . Dans la matinée de ce samedi, les fidèles de l’église adventiste du 7ème jour se sont rentrés dedans par des jets de pierres, il a fallu une intervention musclée d’une armada de policiers pour disperser ces fidèles. Selon les témoins, les conflits de leadership seraient à l’origine de ce mésentente.
Selon nos informations, ces éléments de la police ont intimé l’ordre aux adhérents de cette église de rentrer à leurs domiciles respectifs, ces hommes en uniforme ont bouclé les entrées de cette église.
Pour rappel, les conflits de leadership entre les prélats de cette confession religieuse ont fait couler beaucoup d’encre et de salive. Le ministre de l’intérieur, du développement communautaire et de la sécurité publique, Gervais Ndirakobuca, dans plusieurs réunions avec les autorités de cette confession religieuse qui se regardent en chiens de faïence, s’est posé la question de savoir si les fidèles de cette église adorent le nom de Jésus Christ ou les prélats de cette confession religieuse.
Dans plusieurs réunions et sorties médiatiques, le ministre de tutelle n’a cessé de demander aux croyants et leaders de cette église de s’unir comme un seul homme pour résoudre les différents qui les hantent. N.R.
Burundi - Economie
Réhabilitation et extension de la Sosumo : 105 milliards de Fbu nécessaires
Gitega, le 10 avril 2021 (Net Press). Ceci est le constat du conseil des ministres de ce mercredi 7 avril. Dans un procès-verbal lu par Prosper Ntahogwamiye, porte-parole et secrétaire général du gouvernement, cette société a été créée en 1982 et elle avait pour mission de cultiver la canne à sucre et produire le sucre pour la consommation et la fabrication des boissons.
Le conseil des ministres s’est rendu compte que la Sosumo n’est pas aujourd’hui capable de satisfaire la consommation locale car la population a dans l’entre-temps et elle est estimée à 12 millions aujourd’hui. Les infrastructures sont vétustes et elles ont besoin d’être réhabilitées. Selon le conseil des ministre, pour le moment, la société sucrière du Moso devrait se limiter à la production du sucre pour la consommation et attendre la mission de fabrication des boisons.
Le conseil des ministres a demandé aux ministre du commerce, des finance et de l’agriculture de se pencher sur la question afin de de trouver les fonds nécessaires pour relancer et agrandir la Sosumo. Ils sont même loisibles à recourir à l’emprunt aux partenaires étrangers. Le conseil a demandé enfin à la Sosumo de préparer la feuille de route pour l’exécution de ce projet. N.B.
Burundi - Administration
Les comptables communaux de tout le pays démis de leurs fonctions
Bujumbura, le 10 avril 2021 (Net Press) . Cette décision a été rendue publique hier par le ministre de l’intérieur, de la sécurité publique et du développement communautaire, Gervais Ndirakobuca. C’était lors d’une rencontre qu’il a organisée à l’endroit de tous les gouverneurs et administrateurs du pays.
En effet, le ministère a engagé des comptables chargés de collecter les impôts et taxes pour le mois de mars, ce qu’on a appelé un mois témoin. La récolte a été plus que spectaculaire car il y a eu augmentation de plus d’1,7 milliards de nos francs par rapport au mois de mars de l’année 2020.
Pour cela, le ministre Ndirakobuca a donné injonction aux gouverneurs de démettre tous les comptables communaux du pays, pour avoir handicapé la collecte de ces ressources en complicité avec les anciens percepteurs précédemment démis de leurs fonctions. Il leur a recommandé de leur trouver autre chose à faire ou à la limite, de leur donner des salaires sans rien faire. Dans pareille situation, la santé financière des communes ne peut pas être pire.
Un analyste qui a requis l’anonymat a invité le ministre Ndirakobuca à voir macro dans la prise des sanctions contre les comptables communaux. En effet, ces derniers ne peuvent pas détourner de l’argent du contribuable pendant des années entières sans la complicité des autorités administratives comme les chefs de zone, les administrateurs et à l’échelle supérieure, les gouverneurs de province.
Pour lui, il faut également qu’il suive de près les actes posés par l’administration précédente car un tel détournement semblait être un fait normal, n’eût été l’organisation de ce mois témoin. Mais dans ce cas, si leur complicité était avérée, prévient l’analyste, il y aurait risque de chambarder toute l’administration au niveau national d’autant plus que le ministre a juré la tolérance zéro à l’endroit de ceux qui détournent les fonds publics. D.N.
Burundi - Education
Chaque enseignant devrait avoir un chez soi
Bujumbura, le 10 avril 2021 (Net Press). Tel est le souhait des enseignants qui le manifestent à travers leur hebdomadaire "La Voix de l’Enseignant". Pour notre confrère, la seule condition d’être membre affilié de la Fondation pour le Logement des personnels de l’Enseignement est d’être enseignant. Après six mois d’adhésion et de cotisation, l’affilié est éligible au crédit.
L’épargne de l’enseignant constitue une garantie auprès des banques qui financent les activités de la fondation. Les crédits octroyés varient de 4 à 13 millions remboursables en 84 mensualités. Le taux reste de 10% et est dégressif. L’administrateur Général de la FLE demande aux enseignants de profiter de cette opportunité d’un taux d’intérêt très réduit.
Sur un autre aspect de l’éducation, le lycée du Lac Tanganyika II reçoit un don d’une centaine d’ordinateurs. Dans le but de bien assurer le cours de la Technologie d’Information et de la Communication pour l’Education (TICE), le lycée du lac Tanganyika II vient de recevoir un don d’une centaine ordinateurs de la part de la Fondation Al Maktoum basée aux Etats d’Emirat Arabes Unies.
Ces machines faciliteront l’enseignant à bien dispenser le cours et les élèves à bien comprendre la matière en appliquant la théorie apprise en classe. La direction se réjouit et demande aux utilisateurs de bien garder ce patrimoine surtout que les anciennes machines étaient toutes en panne suite à la surintensité du courant électrique qui s’était produite il y avait trois ans.
Les parents devraient plaider auprès des différentes organisations nationales ou étrangères pour obtention du matériel didactique qui manque dans différentes écoles pour assurer la qualité de l’enseignement de leurs enfants.
Cependant, un programme d’éducation sexuelle en milieu scolaire s’impose, selon ce journal. Tout en reconnaissant le pas important franchi dans la scolarisation de la fille burundaise, les activistes des droits de la femme regrettent que les grossesses non désirées et les mariages précoces constituent un handicap majeur à la pérennisation de la scolarisation de la jeune fille.
Ils disent qu’il n’y a pas de programme spécifique pour l’éducation sexuelle. Ils estiment que les quelques notions dans les cours de biologie, de sciences humaines, de formation patriotique et humaine ne sont pas suffisantes alors que les élèves et les écoliers se trouvent dans la tranche d’âge sexuellement active. Ch.N.
Burundi - Santé
Le dépistage du covid-19 des élèves à régime d’internat se réalise à Mwaro
Mwaro, le 10 avril 2021 (Net Press). L’information émane du médecin provincial de la province de Mwaro, au Centre du pays, où il lance un appel à tous les élèves à régime d’internat de faire ce test comme l’a demandé le président de la République. Il dit que la province de Mwaro possède quatre lycées à régime d’internat et a ajouté que ceux qui n’ont pas fait de dépistage vont le faire le jour du retour à l’école. Il a signalé que le nombre de cas de covid-19 se multiplie durant cette période même si la pandémie n’est pas fréquente la région. N.B.
Burundi - Afrique - Santé
D’illustres personnalités africaines au chevet de ce continent
Londres, le 10 avril 2021 (Net Press). La Fondation Mo Ibrahim remet le Prix Ibrahim pour le leadership d’excellence en Afrique et publie l’Indice Ibrahim de la gouvernance en Afrique. Elle vient de rendre publique une déclaration très intéressante appelant à une série d’actions urgentes visant à accroître l’accès aux vaccins en Afrique.
La déclaration, signée par les membres du Conseil d’administration de la Fondation, le Comité du Prix Ibrahim et les lauréats du Prix, tels l’ancienne présidente libérienne Ellen Johnson Sirleaf, appelle à des efforts immédiats et concertés pour faire progresser l’équité en matière de vaccins.
Elle propose notamment de débloquer des ressources supplémentaires pour combler le manque de vaccins en Afrique et renforcer la capacité de fabrication de vaccins du continent à plus long terme. Cette déclaration arrive à un moment critique. En date du 7 avril, à l’occasion de la Journée mondiale de la santé, l’OMS a demandé aux dirigeants de donner la priorité à l’élimination des inégalités en matière de santé afin de construire un monde plus juste et plus sain. La rédaction livre l’intégralité du message à ses fidèles lecteurs.
" Des vaccins pour l’Afrique : un sujet de sécurité mondiale
" La COVID-19 est un ennemi qui ne connaît aucune frontière. Nous ne vaincrons pas la pandémie tant que chaque personne, dans chaque pays, ne sera pas protégée. Avec une population de plus de 1.3 milliard d’habitants, l’Afrique est aujourd’hui une des régions les moins protégées et les plus vulnérables. Ce serait une erreur grave de considérer que le continent est moins atteint, et que donc " l’Afrique peut attendre". Les derniers chiffres disponibles font maintenant état de 4.28 millions de cas sur le continent - soit une augmentation de 9% en seulement un mois -, et nous ne pouvons pas exclure que ces chiffres soient en-deçà de la réalité. A 2.7%, le taux de létalité en Afrique est désormais supérieur au taux mondial de 2.2 %.
" Des progrès considérables ont été réalisés à l’échelle mondiale dans la lutte contre la COVID-19. La mise au point en moins d’un an de vaccins hautement efficaces, comme la mise en place quasi-immédiate de systèmes de distribution collectifs, tels que le mécanisme COVAX, sont autant de prouesses qu’il convient de saluer. Mais nous restons très loin des objectifs à atteindre pour assurer la sécurité en Afrique. Sur l’ensemble du continent, l’accessibilité aux vaccins est non seulement très en-deçà du seuil d’efficacité estimé à 60% de la population, mais surtout, à ce stade, nettement inférieure au taux de couverture de 20% promis par le système COVAX.
" Mi-mars, moins de 24 millions de doses de vaccin avaient été distribuées en Afrique, permettant d’assurer la couverture de seulement 17% de la population du continent. Le volume ainsi affecté au continent ne représente qu’à peine 0.5% de la distribution mondiale actuelle de doses , alors que plus de 17% de la population du globe réside sur ce continent. Le système COVAX a fourni à ce jour 16 millions de doses à 28 pays africains, laissant 16 pays recourir parallèlement aux dons et accords bilatéraux. Dix pays restent totalement en dehors de toute couverture vaccinale.
" Faute d’un apport additionnel significatif et immédiat, le personnel de santé aujourd’hui en première ligne en Afrique court un risque majeur. Ce sont eux qui payent le plus lourd tribut à la pandémie. Si cette première ligne se retrouve décimée, outre la tragédie humaine que cela représenterait, le continent risque de devenir un incubateur de choix pour les variants. Nous savons tous que si le virus n’est pas efficacement éliminé partout, il continuera à se propager et à muter. La garantie d’un accès égal et équitable aux vaccins n’est pas seulement une question de justice, et encore moins un acte de charité. C’est bien un enjeu de sécurité mondiale, et donc une question d’intérêts partagés.
" Relever un tel défi appelle des efforts immédiats et concertés. Il faut accélérer l’acheminement des vaccins en Afrique, débloquer des ressources financières additionnelles pour les pays qui en ont le plus besoin et commencer dès maintenant à renforcer sur le continent les systèmes de santé publiques et les capacités locales de production de doses de vaccins.
" En premier lieu, il est indispensable de disposer d’un calendrier clair et sûr des livraisons de vaccins d’ici l’été 2021par l’intermédiaire du système COVAX, pays par pays. Ceci permettra d’identifier les lacunes pour déterminer la solution la plus efficace pour les combler.
" Dans l’immédiat, pour remédier à l’insuffisance actuelle de vaccins, les pays les plus avancés pourraient partager une partie de leurs stocks. Se contenter de donner ses excédents n’est pas suffisant. Nous saluons l’appel lancé par le président de la République française, Emmanuel Macron, pour que l’Europe et les Etats-Unis envoient de toute urgence 5% de leurs stocks de vaccins aux pays en développement. Mais tous ces engagements généreux, même ceux qui ne vont pas au-delà du partage des seuls excédents potentiellement périssables ou menacés d’obsolescence, restent à mettre en œuvre.
" Il est également indispensable de dégager des ressources financières additionnelles spécifiquement destinées à permettre aux gouvernements africains non seulement de combler le manque de vaccins en recourant à des ressources autres que celles du mécanisme COVAX, mais aussi de procéder au renforcement de leurs capacités en matière de stockage, de transport, de distribution et d’administration des vaccins. Les lacunes existantes limitent en effet l’accès du mécanisme COVAX et compromettent la réussite de la campagne de vaccination. Le projet du Fonds monétaire international d’émettre 650 milliards de dollars de droits de tirage spéciaux additionnels est un élément essentiel, et nous saluons l’engagement personnel déterminant de Kritalina Georgieva, Directrice générale du FMI, à cet égard. Il faut maintenant veiller à ce que ces ressources additionnelles profitent aux pays et aux secteurs qui en ont le plus crucialement besoin. Un apport additionnel pourrait également provenir d’allocations supplémentaires ciblées d’aide publique au développement (APD) de la part des bailleurs bilatéraux ou d’une reconstitution anticipée des ressources de l’Association internationale de développement (AID).
" Les gouvernements africains doivent eux-mêmes mobiliser des ressources spécifiques, même si celles-ci sont durement impactées sur la crise. La santé est aujourd’hui considérée comme un bien public prioritaire qu’il revient à tout gouvernement de délivrer à ses concitoyens.
" Enfin, tout contrat, toute ressource financière additionnelle devront être encadrés par des critères de transparence et de solides mécanismes de redevabilité.
" Il reste que le principal goulot d’étranglement aujourd’hui est celui de la capacité de fabrication de vaccins. Alors qu’on estime que 14 milliards de doses pourraient être nécessaires au niveau mondial au niveau mondial, la capacité actuelle du système de production mondial est de l’ordre de 3 à 5 milliards. En réponse à la crise actuelle, mais aussi en prévision de futures pandémies, l’Afrique , avec le soutien de ses partenaires, doit renforcer et développer ses propres capacités de fabrication de vaccins. Beaucoup peut être fait dans ce domaine, qu’il s’agisse de mettre immédiatement en relation les producteurs mondiaux et les entreprises locales disposant de capacités de conditionnement, de stimuler les investissements adéquats, de résoudre les questions liées à la propriété intellectuelle, de promouvoir les transferts de technologies ou de partager données et expertises. Nous saluons la décision de Ngozi Okonjo-lweala, Directrice générale de l’OMC, de réunir tout prochainement les membres de l’OMC et les laboratoires pharmaceutiques pour négocier les conditions de fabrication et de distribution plus équitables pour les pays en développement. Pour toutes ces étapes, la mise en place d’un partenariat solide avec le secteur privé africain, qui a déjà largement démontré son ingéniosité et son efficacité dans la production des tests et d’équipements de protection individuelle, sera déterminante.
" La lutte contre la pandémie n’est pas seulement une urgence ponctuelle. L’émergence de variants de la COVID-19 comme de la maladie X sont inévitables. Nous sommes tous témoins de la façon dont la pandémie actuelle a altéré, voir détruit, les équilibres sociaux et économiques dans le monde entier. Assurer que l’Afrique soit en mesure de gérer la crise actuelle tout en préparant l’avenir dès maintenant est un sujet immédiat et prioritaire de sécurité mondiale.
" Tous ces sujets feront l’objet d’un nouveau rapport de la Fondation sur "L’Afrique et la COVID-19 : un an après" et seront au cœur des discussions du Forum Ibrahim 2021 pendant le Ibrahim Governance Weekend ; qui se tiendra virtuellement du 3 au 5 juin 2021." J.M.