Kirundo, le 19 octobre 2021 (Net Press) . Onze combattants du mouvement forces de libération nationale, Fln, qui s’est assigné la mission de combattre militairement Kigali et qui étaient en fuite au Burundi ont été remis ce matin, à partir de 11 heures, au gouvernement rwandais. Les deux parties étaient représentées par les chefs de renseignements aux armées des deux pays.
Il s’agit du colonel Ernest Musaba du côté du Burundi et du général Vincent Nyakarundi pour le compte du Rwanda. Les cérémonies de remise de ces rebelles ont eu lieu à la frontière commune entre les deux pays située dans la province de Kirundo, au Nord du pays, plus précisément dans la localité de Gasenyi – Nemba.
Selon des informations en provenance de cette frontière, il y avait également la présence du gouverneur de Kirundo ainsi que celle du maire de Bugesera. L’on signalera que les assaillants appréhendés étaient en possession des armes à feu, notamment les fusils Kalachnikov ainsi que des grenades.
C’est une forme de réciprocité car de par le passé récent, le Rwanda avait remis 19 combattants du mouvement Red-Tabara au gouvernement du Burundi à la même frontière. Cela avait fait dire à plusieurs autorités burundaises et rwandaises que les relations bilatérales entre les deux pays sont sur le point de se réchauffer. D.N.
Burundi - Sécurité
Quand le quartier 7 en zone de Ngagara devient la cible des SDF et du banditisme !
Bujumbura, le 19 octobre 2021 (Net Press) . Selon des sources sous couvert d’anonymat, le quartier 7 de la zone urbaine de Ngagara, au Nord de la capitale économique Bujumbura, devient la cible du banditisme et les sans domicile fixe (SDF) tard la nuit. Quelques habitants sur place saluent l’œuvre des autorités locales et du comité mixte de sécurité pour mettre ces éléments hors d’état de nuire.
Nous sommes au quartier 7, en zone Ngagara, commune urbaine de Ntahangwa, des éléments dans toutes leurs états et sans domicile fixe affluent tard la nuit pour trouver un logis audit quartier qui garde la paix et la tranquillité. L’administration locale et le comité mixte de sécurité sont obligés de dormir à la belle étoile pour sécuriser ces individus et ce, jusque dans la petite matinée.
Et quand cette circonscription devient la cible de vol tard dans la nuit !
Nombreux témoignages indiquent que des présumés bandits font des missions de reconnaissance pendant les heures du travail et tard dans la nuit, ces éléments s’introduisent dans les ménages où les membres des familles dorment profondément pour voler des équipements matériels et autres objets luxueux.
Cependant, la population sur place salue l’œuvre des autorités locales. Le comité mixte de sécurité a interpellé 6 jeunes ressortissants du quartier 6 dans la même zone, fraichement sortis de la prison centrale de Mpimba. Ils s’apprêtaient à cambrioler dans ce quartier et la population demande la mise en place d’un poste de police pour la sécurité de cette localité administrative pour barrer la route à toute infiltration de ces sans domiciles fixes en état d’ébriété, ou alors toute tentative de vol tard dans la nuit. N.R.
Burundi - Justice
Arrestation d’une dizaine d’intermédiaires dans un dossier de trafic humain
Rumonge, le 19 octobre 2021 (Net Press) . La police a déjà arrêté une dizaine de personnes en commune de Rumonge, au Sud-ouest du pays, pour leur rôle d’intermédiaires dans un dossier de trafic des êtres humains et plus de 600 victimes de cette escroquerie demandent que justice soit rendue.
Les sources policières en commune de Rumonge indiquent qu’une dizaine de personnes ont été déjà arrêtées pour leur rôle d’intermédiaires dans l’identification, le recrutement et la sensibilisation des personnes qui désiraient avoir un emploi dans les pays du Golfe.
Les mêmes sources précisent que ces arrestations se poursuivent pour des raisons d’enquêtes afin d’identifier les membres de ce réseau. Certaines victimes rencontrées à la police venues charger ces intermédiaires indiquent avoir versé à un certain Hakim Babou Nyabenda, une somme variant entre 500.000 fbu et 700.000FBU et cette personne se chargeait de chercher un passeport de voyage aux bénéficiaires.
Ces victimes indiquent avoir été mobilisées et sensibilisées par ces personnes qui sont en train d’être arrêtées et souvent, ce sont leurs voisins. Elles précisent qu’ils sont plus de 680 personnes qui ont été victimes de cette escroquerie et proviennent des quatre coins du Burundi.
Ces victimes demandent que justice soit rendue et surtout que le principal accusé qui est Hakim Babou Nyabenda soit arrêté pour qu’il dénonce d’autres membres de ce grand réseau de trafic d’êtres humains. Les sources policières indiquent que des arrestations en rapport de ce dossier sont en train d’être opérées dans la ville de Bujumbura, sans en préciser le nombre ni l’identité.
Le représentant de l’Ong Observatoire nationale de lutte contre la criminalité transnationale (ONLCT) où est ton frère en province de Rumonge demande que des enquêtes plus approfondies soient menées pour démanteler ce réseau car selon lui, la traite et le trafic des êtres humains est une réalité en province de Rumonge. Rappelons que ces personnes victimes ont fait un sit-in devant le bureau de l’administrateur communal pour réclamer que justice soit rendue. F.N.
Burundi – Niger – Coopération
La première dame burundaise accueille son homologue du Niger
Bujumbura, le 19 octobre 2021 (Net Press) . L’épouse du chef de l’Etat burundais, Angéline Ndayishimiye, a accueilli hier son homologue du Niger, Hadidja Hadiza Bazoum. C’était ce lundi 18octobre 2021, que la première dame du Niger est arrivée à l’aéroport international Melchior Ndadaye et elle a été accueillie au tarmac de l’avion par son homologue burundais, Angeline Ndayishimiye. Elle a fait savoir qu’elle vient participer dans un forum des femmes leaders, 2e édition, qui s’étendra du 19 au 20 octobre 2021.
Angeline Ndayishimiye a échangé avec son homologue sur les réalisations de la fondation « Bonne Action Umugiraneza » et de l’OPDAD dont elle assure la présidence. Les deux leaders ont pu visiter les différentes œuvres réalisées par les jeunes avant que la première dame ne donne quelques cadeaux à son homologue du Niger. N.B.
Burundi – Politique
« Femme leaders, unissons-nous contre la malnutrition au Burundi »
Bujumbura, le 19 octobre 2021 (Net Press). Tel est le thème central du deuxième forum national de haut niveau des femmes leaders ouvert par le président de la République, Evariste Ndayishimiye, ce mardi 19 octobre 2021. Dans son discours, il a invité les femmes, qui sont le noyau de famille, à donner une alimentation équilibrée.
Le chef de l’Etat a fait savoir qu’au Burundi, il n’y a pas de problèmes de nourriture, mais que les gens mangent pour être rassasiés sans tenir compte de la qualité des aliments. Il appelle aux investisseurs nationaux et internationaux de déployer plus d’efforts pour combattre la malnutrition.
La première dame et en même temps présidente de l’OPDAD Burundi, Angéline Ndayishimiye, a remercié le président de la République qui, malgré ses multiples fonctions, a ouvert son forum. Elle a fait savoir que sa présence est un signe très éloquent de la préoccupation du gouvernement du bien-être de la population burundaise en général, des femmes et des enfants en particulier.
Angéline Ndayishimiye a fait savoir qu’en 2020, l’Opdad a procédé au lancement de la campagne malnutrition zéro qui s’étend sur une période de cinq ans pour lutter contre la malnutrition sous toutes ses formes et que pendant cette période, en collaboration avec les ministères sectoriels et les partenaires techniques et financiers, tous doivent conjuguer leurs efforts afin d’atteindre cet objectif où réduire considérablement la malnutrition.
La première dame a fait savoir que dans les perspectives d’avenir, l’OPDAD-Burundi envisage d’organiser une sortie d’ateliers régionaux à l’intention des femmes leaders dont l’objet est de sensibiliser ces dernières à combattre fortement la malnutrition. Signalons que ce forum a vu la participation de la première dame de la République du Niger et Angeline Ndayishimiye lui a remercié d’avoir répondu à l’invitation alors que peu avant, elle venait de perdre son père. N.B.
Burundi - Politique
Le président de l’assemblée nationale rentre d’une réunion de l’union des parlementaires africains
Bujumbura, le 19 octobre 2021 (Net Press). C’était ce dimanche 17 octobre 2021 que le président de l’assemblée nationale, Daniel Gélase Ndabirabe, est rentré d’une mission de travail qu’il a effectuée à Djibouti, dans la Corne de l’Afrique, où il a pris part à la 43e session du comité exécutif et la 46e conférence de l’union des parlementaires africains.
Ndabirabe a fait savoir que c’est une réunion qui allait s’appesantir sur la question des conséquences du covid-19, des implications sur tous les domaines que ce soit sanitaire, éducation, économie etc. Il a fait savoir qu’ils ont fait le contour de toutes ces questions.
Le président de l’assemblée a fait savoir que le covid-19 est une contrainte économique du monde entier et pour relever l’économie, ces pays africains ont tourné le regard vers l’intérieur, ils ont conclu qu’il faut d’abord concentrer leurs efforts à l’intérieur du pays avant de susciter une aide extérieure car l’Occident a connu aussi cette pandémie du covid19.
L’union parlementaire africaine a deux commissions, une commission économique et celle de défense et de sécurité où ils se sont convenus qu’il y ait cette commission de défense et de sécurité en attendant un amendement des textes pour mettre en place les commissions permanentes en matière de défense et de sécurité. N.B.
Burundi – Energie
Le carburant devient un casse-tête chinois dans la capitale économique
Bujumbura, le 19 octobre 2021 (Net Press) . Depuis quelques jours, le carburant devient introuvable dans plusieurs stations de la capitale Bujumbura. Les premières conséquences commencent d’ailleurs à se manifester car la circulation, d’habitude intense, surtout dans les heures de pointe, devient de plus en plus faible. Les véhicules sont garés, les uns devant les stations, dans l’attente d’une éventuelle provision en carburant, d’autres carrément à domicile pour attendre de meilleurs jours.
Sur place dans la capitale économique Bujumbura, l’on constate qu’il y a des stations qui distribuent de l’essence, mais de façon sélective. Les privilégiés sont les véhicules qui possèdent des bons de commande. Le ministère de tutelle avait reconnu le manque de carburant devant les micros et caméras, annonçant qu’il allait y avoir une réunion de tous les concernés pour qu’il y ait une solution durable à cette pénurie.
Cette carence avait commencé à se manifester dans certaines provinces de l’intérieur du pays avant que la capitale politique, Gitega, ne soit contaminée par cette « crise » énergétique. D’aucuns expliquent que le manque de devises est à l’origine de la carence de ce produit stratégique mais jusqu’à présent, le gouvernement n’a pas encore donné les motifs, du moins officiellement, de ce manque de carburant dans le pays. Ch.N.
Burundi - Santé
Covid19 : Un lancement de vaccination sans Gitega !
Bujumbura, le 19 octobre 2021 (Net Press). Il était vers 14 h 30 de ce lundi, lorsque quelques individus venaient au compte-goutte pour se faire vacciner le covid-19 au centre national élargie de vaccination situé tout près de l’hôpital prince Régent Charles. Aucune autorité n’a fait le déplacement pour procéder à ce lancement officiel.
Une Opinion trouve que cette absence d’un officiel serait lié aux propos du premier ministre Alain Guillaume Bunyoni lors de son déplacement en province de Rutana, au Sud-est du pays. Ce dernier a déclaré ce dimanche 17 octobre que le gouvernement ne favorisera jamais le vaccin au détriment des mesures déjà prises dans le cadre de lutte contre la pandémie de Covid-19.
Cependant, des bénéficiaires de ce vaccin indiquent que la population burundaise encourage les Burundais à observer les mesures d’hygiène et à se faire vacciner pour lutter contre la propagation de la pandémie à grande échelle.
Et d’autres trouvent qu’avec la vaccination massive contre le Covid-19, le Burundi pourrait être retiré de la liste des voyageurs désignés personae non grata sur certains coins de la planète.
Et quand l’Érythrée est le seul pays africain à refuser la vaccination
Pour rappel, l’Érythrée est le dernier pays au monde, avec la Corée du Nord, à refuser toute vaccination contre le Covid-19. Ces derniers jours, en effet, la Tanzanie et le Burundi ont dit oui au vaccin avec l’aide de la communauté internationale. Néanmoins, ce qui étonne une large opinion ce que dès l’arrivée des vaccins sur la Tanzanie, la présidente de la République tanzanienne, Samia Suluhu, a été la première à se faire vacciner au moment où le premier ministre burundais, Alain Guillaume Bunyoni et le ministre de la santé publique et de la lutte contre le sida, Dr. Thaddée Ndikumana, appellent la population à se faire vacciner volontairement et s’en lavent les mains contre tous les effets secondaires découlant de cette vaccination.
Pour l’opinion, c’est une façon de décourager la population de se faire vacciner d’autant plus que même les hauts gradés de nos voisins de l’Est, la Tanzanie se sont fait vacciner pour inciter la population de les emboiter le pas. Signalons que cette pandémie ravage le monde et terrasse les économies mondiales. N.R.
Burundi – Nécrologie
« Tu es mort le sourire aux lèvres, ce n’est qu’un au revoir, mon cher époux », dixit Béatrice
Bujumbura, le 19 octobre 2021 (Net Press) . Tels sont des propos d’une femme extraordinairement courageuse et forte, une prénommée Béatrice, lors de l’inhumation de l’homme de sa vie, du père de ses enfants, Jean Jacques Kabura, ce 18 octobre 2021, au cimetière de Mpanda, dans la province de Bubanza, à l’Ouest du pays.
Rien qu’à voir les faits, l’on constate automatiquement qu’aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années, comme le disent les Français. Cet homme est né le 13 mars 1983 et il est passé de vie à trépas le 8 octobre 2021, à seulement 38 ans passés de quelques 5 mois, ce qui est trop court dans la vie d’un homme.
Le petit Jean Jacques a commencé les études primaires à l’école primaire officielle de Buyenzi, appelée souvent « Bassin », du fait que derrière l’établissement, il y avait une piscine qui n’est plus fonctionnelle depuis des années pour des raisons qu’il n’est pas nécessaire de développer ici. C’était une très bonne école qui avait l’habitude d’enregistrer le taux le plus élevé des réussites au concours national, raison pour laquelle les enfants des personnes les plus influentes de la République y ont réussi leur concours permettant de fréquenter l’école secondaire.
Les études terminées, il a tout tenté, il a tout fait, il a tout réussi, il a tout été dans le domaine de la santé publique qu’il a servi jusqu’à la dernière de son énergie. Il a travaillé dans plusieurs provinces du pays, comme notamment inspecteur dans le système de fonctionnement de la santé maternelle et infantile, surtout dans la gratuité des soins.
Selon les témoignages, Jean Jacques n’a pas eu de difficultés à l’école car très peu de temps après, il a fréquenté les études universitaires à l’institut national de santé publique, où il a obtenu le diplôme de licence en santé publique. Malgré son jeune âge, le défunt a pu organiser sa vie privée, son foyer, si bien qu’il apparaissait comme un homme hors du commun.
Tous les témoignages sur sa tombe, de ses frères Emmanuel, Augustin et Etienne, - il y avait l’absence de Gilbert qui était absent pour des raisons de santé -, de son employeur, de son fils aîné Béni, de l’église pentecôte de Gatete, dans la commune et province de Rumonge, au Sud-ouest du pays, ainsi que de son compagnon de longue date, ils se sont convergés sur un seul qualificatif, parlant de Jean Jacques : un homme intègre. L’employeur a fait savoir que cet homme n’a jamais démérité.
Les moments forts ont été observés lors de l’intervention de son épouse, Béatrice, qui a étonné plus d’un. Si tout le monde s’attendait à ce qu’elle éclate en sanglots, car la mort de Jean Jacques est une épreuve plutôt dure pour la plupart de ceux qui le connaissaient, elle a consolé ceux qui pleuraient le mort avant d’entonner des chansons religieuses pour donner après son témoignage.
Elle a fait savoir qu’elle a eu la chance d’avoir un mari comme Jean Jacques, qu’elle a tout obtenu de lui, des enfants et tout ce qu’elle désirait, qu’elle n’a eu jamais à se plaindre et qu’elle était sûre que son mari était assis à droite du Père le Tout Puissant. Encore qu’elle n’a pas beaucoup insisté sur ses relations avec le défunt, mais sur sa façon de vivre ses derniers moments sur terre.
Prenant tout son temps, Béatrice a décrit, avec force détails, toutes les étapes relatives à l’évolution de sa maladie, depuis le 17 août, quand il est tombé malade. Il ne savait pas qu’il entamait un voyage sans retour car il a toujours gardé le moral avec un sourire aux lèvres et quand il a constaté que tout était presque fini pour lui, il a appelé son fils au téléphone, qui vivait à l’internat, pour lui dire adieu.
Béatrice avait un calme et une conscience tranquilles devant une foule hypnotisée, hébétée par des révélations de la mère des enfants. Elle s’est enfin tournée vers le cercueil de son mari pour lui demander de se reposer en paix et que pour le reste de la famille, Jésus Christ va s’en occuper. Elle lui a imploré à combler le vide laissé par son mari et père de ses enfants. Son frère Emmanuel a précisé que la dernière fois qu’il était à Mpanda, c’était en 2016, inhumant un autre frère, Ferdinand, décédé à l’âge de 37 ans.
Pour ceux qui connaissaient la personne, Jean Jacques était un homme serviable, il était un très bon chrétien, il était à l’écoute des autres, il conseillait des gens, il n’aimait pas les manœuvres dilatoires, même moyennant de l’argent. C’était un homme joli, jeune, jovial, joufflu, mais surtout, un homme juste.
Cher Jean Jacques, la mort t’a emporté ? Nous la défions car tu resteras gravé dans nos mémoires jusqu’à la fin des temps. Comme l’a si bien dit la mère de tes enfants, tu es aujourd’hui dans les royaumes des cieux où tu es désormais notre ambassadeur. Tu es devenu un citoyen du ciel et non du monde.
Nous sommes tous certains que nous allons te revoir, surtout ta charmante épouse et tes quatre enfants, dans une période que l’on voudrait qu’elle soit la plus lointaine possible. Que la terre de tes ancêtres te soit légère ! Après les cérémonies d’inhumation, celles de levée de deuil partielle se sont poursuivies au Mess des officiers, garnison de Bujumbura.
Très jeune en âge, Jean Jacques a pu démontrer, même à titre posthume, qu’elle était douée d’une valeur intrinsèque hors pair. L’on en veut des gens qui ont accompagné cet illustre disparu à sa dernière demeure et ceux qui se sont présentés au lieu de réception. Le Mess a dû rajouter des chaises non prévues dans le jardin, en dehors des salles, pour que les gens puissent s’asseoir. C’est cela le départ pour l’Eternité d’un grand homme. J.M.